Nicaline ou l'histoire d'une jeune femme de notre temps
Datte: 01/05/2020,
Catégories:
fh,
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... Ils virent bientôt passer deux chevaux qui se poursuivaient en courant. Ils ne prêtèrent aucune attention aux deux humains et continuèrent leur folle course autour du pré. Dans l’abri, Mireille avait décidé de déshabiller son amant et rien n’aurait pu la retenir. Il mettait du reste beaucoup de bonne volonté à lui faciliter la tache. Bientôt il fut aussi nu qu’elle. Sans qu’il s’y attende, elle le poussa en arrière et il tomba sur le dos dans le foin. — Ne bouge pas, lui dit elle, moi aussi j’ai envie de me rincer l’œil. La clarté diffusée par la lune était largement suffisante pour qu’elle contemple le corps de son amant. Elle le connaissait si bien que même les yeux fermés elle était capable de se le décrire. Elle se dirigea lentement vers lui, et se laissa tomber à genoux entre ses jambes. Les yeux fixés sur la lourde verge tendue vers elle, Mireille descendit la tête jusqu’à ce que ses lèvres rencontrent le gland décalotté. — Je vais te faire la pipe du siècle. Et si tu en réchappes, tu auras le droit de me faire l’amour. Sinon je te laisse là. Pierre aimait par-dessus tout ces moments où elle prenait les choses en main, réalisant ses fantasmes pour leurs plus grands plaisirs à tous les deux. Ses lèvres s’ouvraient juste assez pour que sorte le bout de sa langue. Elle s’en servit pour titiller le méat qui commençait à laisser sourdre une perle de liqueur. Gourmande elle la recueillit et imitant un testeur de vin la dégusta. — Grand cru mon cher, votre production ne me ...
... déçoit jamais lui dit elle un peu moqueuse. Ceci dit elle plongea et commença une folle sarabande autour du pieu qui augmentait encore de volume. Tantôt de la langue, tantôt des lèvres, parfois des dents, elle suçait, pompait, agaçait le dard de son amant. Celui-ci profitait au maximum de ces caresses savamment dosées, et se laissait complètement aller. Son bassin se projetait en avant sous l’effet de spasme qu’il contrôlait de moins en moins. Mireille sentait le plaisir monter dans l’arbre de vie de son homme. Elle accéléra ses mouvements, y ajoutant une masturbation effrénée. Elle ne tarda pas à obtenir le résultat recherché. Criant son plaisir, le corps tendu, Pierre se déversait dans sa bouche à gros jets bouillonnants. Elle prit tout le temps nécessaire pour déguster jusqu’à la dernière goutte la liqueur. Puis se releva, les yeux chavirés du plaisir donné et reçu. — Je confirme, tu ne me déçois jamais.— Toi non plus tu es vraiment la reine de la pipe. Allongés l’un contre l’autre sur le foin odorant, ils reprenaient contact avec le monde qui les entourait. Des bruits qu’ils n’avaient pas perçus auparavant parvinrent à leurs oreilles. Les deux chevaux étaient revenus près de l’abri. L’un d’eux tentait de poser sa tête sur la croupe de l’autre qui se dérobait, s’éloignait de quelques mètres et attendait d’être rejoint. — Regarde une jument en chaleur et un étalon. Ne fais pas de bruit. Pierre bougea un peu et se plaça derrière sa compagne. Ils regardaient tous les deux ces ...