1. Samia - 25 Samia chez les Berbères.


    Datte: 29/09/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... chauffeur lui dit :— Vous pourriez prendre votre femme sur vos genoux.Djibril répond :— Il n'a pas le gabarit pour ça, viens plutôt sur les miens.Il m'att**** par les hanches et m'assied sur ses genoux. Enfin, sur ses cuisses nues.... Le Toulousain – il s'appelle Robert – se croit permis d’intervenir :— Ils sont mariés, ce serait peut-être plus normal que...Sa femme l'interrompt aussitôt :— De quoi tu te mêles ? Entre les genoux de ce jeune homme et les tiens, je n'hésiterais pas une seconde.Ça fait glousser les jumeaux. Elle ajoute pour moi :— Amuse-toi, ma belle. Un voyage de noces, c'est fait pour ça et puis une paire de cornes, c'est ce qui pend au nez des maris. Hein Robert ?— ... Euh... oui ma chérie.Nouveaux rires des jumeaux.Je sens qu'on va s'amuser. Le chauffeur nous dit :— Bouclez vos ceintures, on y va.La route qu'on prend devient vite une piste. Heureusement que Djibril me tient collée contre lui, ça amortit les chocs. On parle un peu mais ce n'est pas facile, tellement il y a du bruit. Je somnole, la tête sur son épaule, mes pieds sur les jambes de Julien qui me caresse doucement les pieds. Il sait que j'aime ça. Je dis à Djibril :— Je ne suis pas trop lourde ?Il tourne la tête pour me répondre et... nos bouches se rencontrent, sans même me demander la permission. Mes lèvres s'écartent... humide et offertes. On s'embrasse ...
    ... sous les yeux de Julien. Quoi, c'est pas bien ? Vous avez entendu la dame : une paire de cornes n'a jamais fait de mal à un mari et question cornes, Julien et Robert, le mari de Josiane, ils doivent ressembler à des cerfs 10 corps ! On parle un peu entre nos baisers. Je sens son sexe dressé contre moi... Je mouille doucement.... Les jumeaux nous regardent du coin de l’œil, manifestement très intéressés.Après 150 km, la voiture s'arrête : pause boisson et pipi.Josiane me dit :— Viens, on va faire pipi ensemble.On s'éloigne, mais pas trop quand même, à cause des vipères à cornes et des scorpions, elle me dit ;— On est bien assez loin et puis pipi, c'est la natureElle est farce : on n'est pas à plus de 10 mètres. Elle se tourne le dos, relève sa jupe et baisse sa culotte en s'accroupissant. Je fais la même chose. Bah ! tout ce qu'ils peuvent voir, c'est nos deux paires de fesses et nos chattes offrant un peu d'humidité au désert. Quand c'est fait, on se redresse et on se secoue, comme font les filles pour envoyer des gouttes de pipi sur leurs jambes. On retourne à la voiture, l'entrejambe humide...On boit et on repart. Je reprends ma place sur les genoux de Djibril.On roule encore une bonne heure et on arrive enfin dans le village. La Toyota nous dépose et repart.À suivre.Vous voulez me dire un mot gentil ? Je suis ici : mia.michael@hotmail.fr 
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