Elise
Datte: 02/05/2020,
Catégories:
f,
fh,
Collègues / Travail
toilettes,
Masturbation
intermast,
Oral
mélo,
regrets,
occasion,
... retourner au travail, mais cette idée faisait son chemin tranquillement dans les méandres de son cerveau. Elle appellerait Thelma ce soir. Lorsqu’elle entra dans le grand bureau qu’elle partageait avec ses collègues, elle entendit à nouveau la fin d’une énième blague bien grasse. Quel plaisir l’attendait dans ces endroits de plaisir charnel si elle y rencontrait des hommes si peu délicats ? Vraiment, elle hésitait maintenant, tout en étant très excitée à cette idée… Élise était souvent sujette à ces envolées de désir. Elle attrapa son rouge à lèvres et se dirigea vers les toilettes, tout en continuant à penser à ces lieux de plaisir… Fort heureusement, une des toilettes était libre, elle s’engouffra et entreprit de se déshabiller. Debout, adossée au mur, elle souleva sa jupe, laissant apparaître ses bas, et son string qu’elle s’empressa de retirer ; elle se sentait libre désormais, cela lui avait toujours procuré cette sensation d’ailleurs ; la nudité était chez elle une évidence… Elle détacha les boutons de son chemisier, fit basculer ses seins hors de leurs corbeilles de dentelle, et elle entreprit de caresser doucement leurs tétons durcis par l’envie et le désir. De ses doigts mouillés et agiles, elle parvenait doucement au paradigme de l’excitation, et alors, elle entreprit de se caresser le sexe qui, dans l’attente, s’était trempé de son ardeur. Elle avait été si pressée qu’elle avait mal fermé la porte, qui était désormais entrouverte. Tellement absorbée par ses ...
... propres sensations, elle n’entendit point le pas léger de Maurice. Il distingua une présence et se posta derrière la porte. Il entrapercevait Élise dans une pose lascive, les yeux clos, se caressant les seins et semblant abandonnée à ses plaisirs. Il se sentit excité par cette vision inattendue et réalisa qu’il l’avait toujours désirée. Quelle serait sa réaction s’il ouvrait la porte, ou s’il entrait dans le lieu exigu ? Ce spectacle devenait quasi insoutenable, et tout en déboutonnant son pantalon pour libérer son sexe dur, il se retenait d’entrer précipitamment. Élise, pour sa part, continuait sa lente ascension vers les sommets du plaisir et accélérait maintenant la cadence de ces mouvements bien maîtrisés. L’orgasme était proche et ce moment d’attente relevait du délice. Elle avait tellement envie d’un homme qui lui fasse vivre ces instants qu’elle eut l’impression fugitive d’une présence, proche ; mais elle se reprit aussitôt : elle était aux toilettes, et personne n’était là à ses côtés… Ses perceptions étaient sûrement faussées par le manque et le désir. Maurice se caressait maintenant énergiquement, mais il voulait la toucher, il avait envie de ce téton, tendu, arrogant, pointé vers lui, et d’y établir sa langue dardée. Élise arrivait au paroxysme, les mouvements qu’elles imprimaient à sa main lui tendaient le sexe, comme rarement elle avait connu. Maurice poussa la porte et entra, attentif à une réaction de la part d’Élise. Elle ne réagit pas ; il continua son avancée, et ...