Vacances, sexe et exhib. (1)
Datte: 02/05/2020,
Catégories:
Hétéro
... j’ai toujours les tétons qui pointent. Je ne sais pas pourquoi, mais c’est ainsi. Après, je ne suis pas trop farouche : j’aime bien ne rien mettre dessous une robe ou une jupe. Pat m’a laissé quartier libre pour attirer les filles chez nous. Après un innombrable échange de mails avec Élodie sur leur désir d’exhibition et aussi sur mes envies de découverte, elle m’informe devoir en parler avec Tatiana et aussi savoir comment faire. Moi, j’ai mon idée. Un matin au réveil, à l’heure du petit câlin traditionnel. — Alors, mon chéri, tu as bien dormi ? — Oui, et toi ? Je suppose que tu as fait de beaux rêves. — Oui, très beaux si te veux savoir, et même... — Oh, ma douce, pas besoin de me le dire ; je m’en doute. Au sujet d’hier au soir ? Je ne peux répondre qu’un petit « oui » tendre et amoureux. — Eh bien, appelle les filles et tu seras fixée. Comme dit le dicton : « Il faut battre le fer tant qu’il est chaud ! » Je prends mon téléphone, cherche dans le répertoire : Élodie et Tatiana. OK - appel - il compose - sonnerie… C’est long, très long… — Allô ! — Allô, Élodie, c’est Julie. Ça va ? — Oui, ça va très bien. Que veux-tu à cette heure si matinale ? Rien de grave au moins ? — Non, non… c’est que… je voudrais… vous demander un truc. — Oh ! Vu le ton, c’est important. Vas-y, explique. — C’est au sujet… de nos mails. Tu te souviens, on avait dit que… — Ah oui. Tu voulais qu’on fasse des trucs, c’est ça ? — Oui… mais si vous ne voulez pas, tant pis. — Écoute, j’en parle ...
... sérieusement avec Tatiana et je te rappelle ou je t’envoie un texto. D’accord ? — D’accord, à tout à l’heure. Trop tard, Élodie a raccroché. Je suis fébrile ; vont-elles accepter ? Je suis jeune, pleine de vie, et de plus en plus gourmande de sexe. Je veux vivre plein d’expériences différentes. Les heures passent, interminables, puis mon téléphone sonne enfin. Un message d’Élodie. Je l’ouvre et je lis : « Coucou, Julie, l’idée nous plaît beaucoup. Nous sommes d’accord sur le principe, mais il y aura des conditions ; il faut que l’on se voie. Rappelle-moi à midi. Gros bisous à vous deux. » Ces quelques mots me remplissent de joie. Je saute comme une puce ! Elles sont d’accord, oui, mais quand ? Maintenant je suis en congé, et Pat dans une semaine : je pourrai être seule avec elles, et après avec Pat nous pourrions les emmener au cap d’Agde. Oh oui, je vais me lâcher ! La fameuse histoire toujours en tête, j’imagine des scènes où je suis attachée nue, fessée, fouettée, et encore plein de trucs. Quelle limite atteindre ? Je ne sais pas non plus de quoi je suis capable. Je m’imagine en esclave avec des bracelets aux poignets et aux chevilles, tenue en laisse, un collier de chien autour du cou. Je suis en train de m’auto-exciter. On dit que les mecs on une bite à la place du cerveau ; mais en ce moment, c’est moi qui ai un cul et une chatte dans la tête ! Midi pile. Impatiente, je prends mon téléphone. Le texto d’Élodie apparaît ; je le relis encore une fois puis j’appuie sur « appel ». Le ...