Jaguar, un art de vivre... - Histoires de Sexe

Jaguar, un art de vivre...

... tout nu, je rentrai à l’arrière de la voiture. Corinne était allongée sur la banquette, les jambes relevées. Je voyais son sexe trempé qui semblait m’appeler. Aussitôt, je la pris dans mes bras, et mon sexe se ficha en elle. Il rentra très facilement, Corinne était littéralement mouillée. Je commençais mes va-et-vient immédiatement, c’était divin. Corinne me regardait en souriant, elle avait un visage d’ange… J’allai de plus en plus vite, et finis par jouir. Par précaution, je sortis de son sexe et lui aspergeai le ventre avec mon sperme. Elle serra ses jambes pour m’attirer plus fort contre elle. — Merci Corinne, merci… depuis le temps que j’avais envie de vous !— Non, c’est plutôt merci à vous, Franck, à vous et à votre voiture. J’ai joui comme je n’avais jamais joui. Elle doit être possédée votre voiture, vous savez, dit-elle en souriant.— Oui, c’était super… Vous étiez tellement excitante, à vous emmancher sur le levier… j’ai failli jouir dans mon pantalon.— Je ne sais pas ce qui m’a pris, mais j’ai eu tellement envie que… ben j’ai craqué !— Vous pouvez craquer autant que vous voudrez comme ça, c’est plus que génial ! Mieux même que les vidéos pornos qu’on trouve sur internet.— Oh, vous regardez ce genre de chose ?— Euh, de temps en temps, et je dois vous avouer que souvent, je me branle en fantasmant sur vous, vous savez…— Ah… ça m’est arrivé aussi, je dois l’avouer…— Vous vous êtes masturbée en pensant à moi ?— … heu, oui, quelques-fois.— Je peux vous poser une ...

... question indiscrète ?— Hé, allez-y, après tout, je viens de me faire baiser par votre voiture et vous m’avez ensuite défoncée, on n’est plus à une question indiscrète près, dit-elle en riant…— Vous êtes mariée, ou un copain ?— Non, je vis avec mon chat et mon lapin, dans un petit deux-pièces qui est à moi.— Les hommes doivent vous courir après, mignonne comme vous êtes.— Oui, mais bon, j’en prends un de temps en temps, pour tirer un coup, et hop, dehors. Je n’ai pas envie d’avoir une histoire, ni rien. Tout en disant cela, Corinne, toujours allongée sur la banquette avec les jambes repliées sur son ventre, recommençait à se caresser. Ses fesses étant écartées, je voyais son petit trou bien net… — Vous voulez que je vous doigte, Corinne ?— Hummmm, avec plaisir… je crois que ça va me plaire… Je me dis que mon poing bien serré n’était guère plus gros que le pommeau du levier de vitesse, et qu’avec un peu de chance… Corinne allait être fistée… mais bon, étape par étape. D’autant que son anus m’attirait aussi, mais appréciait-elle d’être enculée ? Allons-y doucement… Je commençai à doigter Corinne, et elle semblait apprécier le traitement. Je la pénétrai avec mon majeur, et son vagin était encore trempé, il entrait tout seul. J’ajoutai mon index, puis l’annulaire. Corinne haletait doucement et se caressait les seins. Elle se pinçait les bouts, les tortillait ; manifestement, elle recommençait à prendre son pied. La chaleur dans la voiture montait, nous étions en sueur. Corinne sentait ...