Les aventures sexuelles débridées de Patrick. Claude (3)
Datte: 04/05/2020,
Catégories:
Hétéro
... décide lui-même du moment adéquat. Il l’astique à toute allure de son membre turgescent et je vois son corps se tendre comme la corde d’un arc. Il lâche enfin bordée sur bordée au fond de sa chatte, elle gémit doucement puis dans un soupir, le complimente : — T’es un sacré baiseur bel Etalon! Oh, putain de salaud, tu m’as rempli comme une outre! Elle s’accroche à lui serrant les jambes autour de sa taille pour le garder en elle et l’embrasse à pleine bouche. — Oh Claude, que c’était beau. Patrick me nique formidablement bien et j’adore le sentir jouir en moi sous ses formidables coups de boutoir, qu’est-ce qu’il ma mis. Mais… C’est pas vrai, regarde !... Son bélier est toujours aussi fièrement dressé, il a un os à la place de la bite le minot, c’est à peine croyable ! Je la rassure et lui explique : -Je t’avais prévenu que c’est un cas et c’est loin d’être terminé. Maintenant c’est à mon tour! Vas y, maintenant Patrick, baise-moi avec ta grosse queue, fais moi jouir en bonne salope que je suis ! Je m’agenouille sur le canapé, me tenant au dossier, je me cramponne du mieux que je peux attendant l’assaillant. Il s’approche par derrière sans aucune précipitation, ajuste sa position pour que ma chatte se retrouve pile à la bonne hauteur de sa formidable trique et me pénètre tout en douceur. Mon vagin trempé n’attendait que son assaut. Je tourne la tête pour admirer son torse aux pectoraux saillants, mes yeux suivent la ligne centrale jusqu’à son nombril et ses abdos biens ...
... dessinés et mon regard stoppe sur la base de sa queue qui me pénètre au rythme d’une montre suisse. Je connais son endurance, sa facilité à se mouvoir et à pilonner inlassablement sa partenaire. Je sens ses coups de reins projeter sa verge dans ma fente trempée. Sa grosse pine s’enfonce encore et encore m’arrachant des gémissements et je me mets à crier : — Ouiiiiiiiiiiiiiii, saa...aaa...aa...laud, tu me fais du...u...u bien..., ouiiiiiiiiii, en...en...en...en...core, plus fort, plus au fond, aaaaaaah ta gro...oo...oo...osse biii...ii...ii...iite me faii...iii...it du...u...u bien... ! Immédiatement il se met à me pistonner comme un malade, il rigole en m’injuriant: — Saaaaaaaalope, ouaiiiiiiiiii, t’es une saaaaaaaaaaalope avec tes gros nibards, ouaiiiiiiiiiiiiiii, c’est çaaaaaaaaaaaa, une pute qui se fait saillir pour assouvir son manque de queue… De la queue, tu veux de la queue saloooooooope, prends ça, tiens, encoooooooooooore, ouiiiiiiiiiiiiiiii, tiens, bien au fond! Je décide de m’attaquer au gros morceau et de le prendre dans ma bouche. Sa bite est un chef d’œuvre de la création : un diamètre d’environ 5 à 6 centimètres et de la taille de celle de Rocco SIFREDI, un maître- queue par excellence, son gland énorme et violacé suinte doucement. Mes mains commencent à le branler avec lenteur, faisant coulisser la peau le long de la verge. Son membre de dimension impressionnante est fortement marqué de grosses veines gonflées qui courent dessus et le gland trigonocéphale vibre ...