1. La Bourge


    Datte: 06/05/2020, Catégories: fh, fépilée, essayage, collection, BDSM / Fétichisme intermast, init, journal,

    ... jetant rapidement un œil à la bosse de mon pantalon. Un échange banal de remerciements s’en suivit et elle poursuivit ses achats. Mais, dans la seconde suivante, une boîte chuta de son chariot et, prenant soin de ne pas plier les genoux, elle se pencha pour la ramasser. Le spectacle qu’elle m’offrit était très agréable. Par son geste, la jupe, en remontant, dévoilait le haut de ses bas, les jarretelles et la naissance de ses petites fesses. Nos regards se croisèrent et c’est à ce moment-là que je décidai de ne plus la lâcher. Elle le comprit très vite et se dirigea vers le rayon des sous-vêtements féminins. Elle prit soin de choisir dans la lingerie la plus sexy quelques strings, une guêpière, un porte-jarretelles. À une ou deux occasions sa maladresse me permit d’assister au même spectacle de ses cuisses dénudées. Soudain elle fit demi-tour dans ma direction et me demanda : — Voulez-vous me donner votre avis sur mon choix ? Imaginant qu’elle voulait que je lui réponde, je m’apprêtai à le faire quand elle me dit : — Venez avec moi ! Et elle se dirigea vers les cabines d’essayage. Après avoir laissé mon chariot, je la suivis. À cette heure matinale, les cabines étaient désertes et l’employée préposée au rayon s’affairait à ranger les vêtements abandonnés la veille par les clients. Ma petite bourgeoise s’engouffra dans une cabine et, quelques instants plus tard, sa tête apparut entre les rideaux. Elle me fit signe d’approcher. Je n’en pouvais plus et, lorsque je passai la ...
    ... tête pour la voir, mon sexe était au plus fort de son érection et mon string avait beaucoup de mal à le contenir. Le spectacle que je découvris allait au-delà de ce que j’avais pu imaginer quelques instants avant. Elle avait ôté sa jupe et son chemisier et enfilé la guêpière rouge et noire. Elle était là devant moi, face à moi, resplendissante de provocation. La guêpière soutenait sa poitrine qui n’en avait certainement pas besoin, ses tétons dressés pointaient fièrement dans ma direction. Ce vêtement lui faisait une taille fine au-dessus d’une chatte complètement épilée et dont les lèvres gonflées avaient du mal à cacher le plaisir et le désir. Les jarretelles tombaient sur de longues jambes et ses chaussures hautes leur donnaient encore plus de finesse. Je n’en pouvais plus ! ! ! ! — Qu’en penses-tu ? me demanda-t-elle. Déconcerté par le ton familier et parfaitement neutre de sa question, je ne trouvais d’autre réponse que de pénétrer dans la cabine pour l’embrasser fougueusement. Elle approuva visiblement cette initiative et profita de cette étreinte pour promener ses mains sur la bosse proéminente de mon pantalon. Mes mains n’arrêtaient plus de parcourir son corps, de lui peloter les seins, de fouiller sa chatte dont l’humidité confirma l’état de son désir. En quelques secondes elle m’ôta mon pantalon et, après avoir découvert le string que je portais, elle commença à masturber mon membre qui, à l’étroit dans le tissu, commençait à bouillir. Elle s’agenouilla et écarta le ...