De Hervé à Vanessa, chienne soumise (1)
Datte: 06/05/2020,
Catégories:
Transexuels
... poils restants accrochés sur ma peau lisse. Joueuse, elle me masturbe et me flatte les couilles. Elle me sèche et me positionne au milieu de la pièce. Elle prend une lotion rafraîchissante et l’effet est immédiat. Les rougeurs s’estompent. En me caressant l’effet est saisissant, on dirait que je touche de la soie. Elle s’accroupit et avant de me passer le produit sur la queue, elle me la prend en gorge profonde. Je ferme les yeux, l’extase. — Non, regarde-moi, ma belle, dit-elle avant de me reprendre en bouche. Elle me tient par les fesses. Ses énormes mamelles balancent au rythme de ses mouvements. Ses tétons sont dressés telles des petites bites. Elle me regarde avec satisfaction. Elle bave, mais n’a aucun relent. L’expérience parle quand j’étais prêt à venir, elle s’arrête. — Pas tout de suite ma belle, pas de suite. Elle me gobe les couilles, me lèche mon scrotum. Sa langue est douce. Elle se relève et remet de l’onguent sur tour le corps ainsi que sur mes parties génitales, après les avoir essuyé avec une lingette. — 15 h 15, monsieur m’a demandé de te déposer à 17 h 00. Je vais voir où en sont mes filles, je reviens. Elle m’embrasse sur le coin des lèvres et s’en va. Je me regarde dans un des grands miroirs. Heureusement qu’elle ne m’a pas maquillé, je ne me serais pas reconnue. Un parfait transsexuel, mis à part les seins. Je suis plus plate qu’une pucelle. Pas de pec, juste de beaux tétés qui pointent. Que dire de mes fesses. Des fesses de bombasse. Deux beaux ...
... globes lisses. Dommage que je ne suis pas contorsionniste pour pouvoir me les mordre. Et ma cambrure, waouh ! Je me mets sur la pointe des pieds. Faramineux, à s’y méprendre, on dirait une meuf ! — Allez, arrête de faire ta belle. Viens avec moi. Elle me prend par la main et m’entraîne dans le hall d’entrée. Quatre dames, habillées dans des vêtements de marque, se retournent sur moi et restent sans voix. — Alors, elle n’est pas belle la petite chienne de monsieur Émile. — oui, magnifique !!! dit l’une d’entre elles en s’approchant de moi. Mais Dominique l’arrête en lui disant que j’étais chasse gardée, pour le moment. Elles tournent autour de moi. J’ai l’impression d’être l’objet de tous leurs désirs. Les mots salaces fusent. "Quel cul de pute; et sa bite, un vrai démonte-pneu, son regard de vipère, j’adore et ses fesses, je fonds…". Je me prends au jeu et me mets sur la pointe des pieds. — La salope, jamais vu une cambrure pareille chez un mec… — La nature est bien faite. Une gonzesse avec un gros levier.. J’en mangerai. Dominique met fin à cette exhibition en me ramenant dans la salle, sous les huées des charmantes vieilles femmes. Elle me tend mon tee-shirt. Je le passe et je m’aperçois qu’il a été découpé et ne cache plus rien au niveau des tétons et raccourci au-dessus du nombril. Pareil pour mon jean. Ce n’est plus qu’un cache-sexe et un mini cache-fesses. À voir ma tête, Dominique éclate de rire. — Ça, c’est du Cathy tout craché. Elle a dû me voir à l’œuvre tout à l’heure… ...