1. Camping pour deux


    Datte: 06/05/2020, Catégories: hh, vacances, facial, Oral tutu, inithh, Gay

    ... lèvres, je quête un baiser en retour, et tu réponds maintenant à mes baisers langoureux avec la même convoitise, le même appétit. Nous nous embrassons à pleine bouche, avec frénésie et enthousiasme, nos langues agiles s’enroulant l’une autour de l’autre, dans un bal lascif, presque sulfureux, comme rarement auparavant il nous avait encore été donné d’embrasser. J’adore. J’avoue ressentir un plaisir comme je n’aurais jamais pu l’imaginer. Ce baiser, celui d’un homme, est bien mieux que je ne l’avais imaginé. Gavé de milliers d’autres baisers féminins durant mon existence jusqu’alors, je serais même presque tenté de dire qu’il est meilleur encore que tous les autres auparavant. Ta main se promène dans mon dos tout le long de ma colonne vertébrale, alors que moi, sans perdre un instant, je glisse la mienne sous ton t-shirt et caresse sensuellement ton torse couvert de poil qui frémit au passage de mes phalanges. Je plante mon regard dans le tien, comme en attente de ton approbation pour la suite, mais tout en prenant grand soin de ne laisser planer aucun doute ni sur mes intentions, ni sur mon ouverture à ton égard. Bref, si je demande le signal de départ pour le reste, moi, je suis déjà prêt. Le constat est flagrant. Ce regard un brin pervers que j’enfonce littéralement au plus profond du tien t’envoie le signal clair que je suis prêt à m’abandonner aux caresses les plus intimes et même davantage. Partagé entre l’émoi des premiers instants et l’envie indéniable de chasser ...
    ... définitivement la frustration de toutes ces années de carence, le sourire espiègle et complice que tu esquisses m’envoie alors le signal que j’attendais impatiemment. Tu relèves ton t-shirt sur ton ventre, toujours en me regardant fixement, et tout en passant ta langue sur ta lèvre supérieure, et ce, d’une façon parfaitement provocante, tu baisses ton regard vers en bas. Sans même qu’une seule parole ne soit prononcée, je devine instantanément que tu as vraiment très envie que je t’offre une belle fellation. Je ne me contente pas d’un t-shirt à peine relevé ; j’ai besoin d’espace pour m’ébattre. Je te le retire complètement et, découvrant à cet instant précis ton torse viril recouvert de poils, j’entame maintenant une descente lente et sinueuse jusqu’à ton entrejambe, en bécotant avec attention la moindre petite parcelle de peau que je trouve sur le passage de mes lèvres, et en m’attardant pendant de longues secondes sur tes mamelons que je lèche avec appétit et mordille légèrement. Arrivé en bas, je m’accroupis entre tes jambes écartées, et tandis que tu déposes une main à la fois ferme et aimante sur ma tête pour caresser mes cheveux, je détache ta ceinture puis le bouton, et je découvre en ouvrant ta fermeture-éclair, une queue déjà passablement dure en même temps qu’une sublime odeur de mâle en chaleur vient me chatouiller les narines et libère en moi une impressionnante quantité de dopamine et de testostérone. Ouf ! Que c’est bon. J’ai faim de toi. J’ai soif aussi. ...
«1234...»