1. Tapas en rut majeur


    Datte: 07/05/2020, Catégories: ff, hh, ffh, fbi, inconnu, copains, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme vidéox, Oral 69, nopéné, jeu, init, délire, humour, sf,

    ... là, après cefrench kiss brûlant qui a duré une éternité et demie et les a laissées à moitié asphyxiées. Traçant un sentier de baisers invisible le long du corps alangui d’Angélique, impudiquement exposée sur le dos, Chloé est venue nicher sa bouche directement à la source des plaisirs de la rousse. Elle l’a longuement caressée, léchée, aspirée, tout en lui triturant les tétons… jusqu’à ce que sa fontaine jaillisse, dans un vibrant cri d’enthousiasme. Je n’ai pas loupé une miette de ce spectacle incroyablement érotique, trop heureux d’y assister en direct. Témoin privilégié des jeux amoureux de deux femmes (et quelles femmes !), je les ai dévorées du regard tandis qu’elles se hissaient de sommet en sommet, bien au-delà de mes attentes les plus démesurées. À peine rassasiée, Angélique s’est occupée à son tour de Chloé, couchée sur le ventre, le bassin surélevé par un édredon complice. D’humeur folâtre, la rouquine a passé un temps fou à déguster sa partenaire à mille endroits, se délectant de chaque parcelle de peau, les rendant toutes également érogènes. Sa nuque, ses épaules, son dos, ses cuisses, et enfin ses fesses. Elle a ensuite exploré des doigts et de la langue tous les coins et recoins de son amante, qui coulait sans discontinuer durant tout ce ...
    ... temps. À son tour, elle a découvert de près les mystères d’une fourche, et elle a aimé ! S’en est suivi un enchaînement de figures toutes plus érotiques les unes que les autres, dans une succession presque ininterrompue de jouissances féminines, le plus souvent tête-bêche, chacune enfouie entre les cuisses de l’autre. Pas une fois elles ne m’ont invité dans la danse ; je n’existais tout simplement plus. Alors, cantonné au rôle de simple voyeur, je me suis délecté toute la soirée de ce spectacle enchanteur, ce ballet de corps et de culs, de poitrines et de bouches, de mains et de fourches… jusqu’à l’épuisement. Le mien, pas le leur ! Alors que je n’arrivais plus à tenir les yeux ouverts, elles y étaient encore. Inépuisables, vous dis-je ! Bien plus tard, ce soir-là, j’ai refermé doucement la porte de l’appartement et les ai laissées à leur découverte d’un tout nouveau bonheur, me glissant comme une ombre dans la nuit. Un sourire idiot sur le visage, je me remémorais les images de cette soirée unique, la beauté de ces majestueuses femelles en rut. Deux femmes qui s’aiment, c’est beau, quand même… ____________________________________________________ ⁽*⁾ : voir le récit, «Julien et le monde des femmes », dans cette même collection, « Le Monde Inversé ».Retour 
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