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Découverte du plaisir avec ma mère (6)
Datte: 08/05/2020, Catégories: Inceste / Tabou
... vint vers moi tout sourire, m’embrassa chaleureusement et me dit : — Tu m’as manqué, mon frère chéri, j’eusse aimé que tu sois là pour m’aider dans le choix de mes emplettes. — Toi aussi tu m’as manqué, sœurette, mais on sera plus heureux lors de nos retrouvailles nocturnes toi et moi. Dis-je — Oui, tu crois, je suis impatiente de te tenir dans mes bras moi aussi, allez va donc prendre ta douche, je la prendrai après toi, je vais finir mon rangement dit-elle en m’embrassant affectueusement de nouveau. Ainsi on arriva au diner, maman tint la plupart du temps la conversation, une fois le repas terminé, on se rendit au salon, Marie et Maman choisirent un film, on le regarda... Une fois fini le film et nos commentaires sur celui-ci, je pris la décision de quitter l’assemblée et d’aller me coucher. Je souhaitai une bonne nuit à Maman et Marie. Une fois dans ma chambre après m’être rafraichi, je me mis au lit, j’ai opté pour un pyjama ample, sans chemisette de corps. Je soupçonnai que Marie vint me rejoindre dès qu’elle estimera la voie libre et la tranquillité concernant maman. J’eus parié mon pactole sur le coup, je pris un livre facile car je ne pensai pas être très concentré pour la lecture, en fait j’attendis et surveillai tous les bruits et rumeurs de la maison, en vérité. Vers minuit et plus, presque trente, j’entendis ma porte s’entrouvrir et j’aperçus Marie, marchant sur la pointe de ses pieds, essayant de faire le moins de bruit possible. Je la regardai, elle a mis un ...
... pyjama rose, se composant d’un haut et un shorty, elle posséda un corps sportif magnifique, une vraie beauté je dus admettre, en plus c’était maman crachée, avec vingt ans de moins. A cet instant de ma réflexion je ne sus si je dus cela à la ressemblance mais, j’eu un pincement au cœur et un désir de Marie me vint à l’esprit. Une fois près du lit elle se jeta sur moi et m’embrassa fougueusement. Des bisous partout et puis sur les lèvres, un vrai baiser d’amour fou. Je la repoussai pour me mettre plus à l’aise, je vis son regard surpris et angoissé par mon acte. Aussi je l’attrapai et elle poussa un cri de joie, en la ramenant à mes lèvres. Ses mains retrouvèrent ma poitrine, puis commencèrent à descendre. Elle trouva l’ourlet du haut de pyjama, et commença à le tirer vers le haut. Je sentis un picotement alors que l’air frais se précipita sur ma peau chaude. Elle tira le « haut » plus haut et plus haut, et finalement nous fûmes forcés de casser notre baiser pendant que le haut passa au-dessus de ma tête. Dès qu’il fut sur le sol, nous nous embrassâmes à nouveau. Puis lentement, mes mains se tournèrent vers ses hanches fermes. J’attrapai, à mon tour son haut et le soulevai lentement. Notre baiser fut encore cassé, et j’enlevai son top et le jetai sur le sol. Je regardai ma sœur, assise sur mes genoux, nos peaux touchantes. Sa peau de grande pâleur, comme la mienne, sur ce fond blanc sa poitrine sembla encore plus vive. Des seins en pomme d’amour comme j’aime, ils semblèrent ...