-
Découverte du plaisir avec ma mère (6)
Datte: 08/05/2020, Catégories: Inceste / Tabou
... contre mon arbre gonflé. — Oh, oui... Suce mes seins... C‘est tellement bon, dit Aurélie en tirant de nouveau ma tête contre sa poitrine. Je n’eu plus besoin d’encouragement. Je suçai ses tétons dans ma bouche puissamment. Je répétai en rythme, en suçant et en tirant sur ses mamelons. Ce fut délicieux ! — Assure-toi de partager tes suçons, amour, dit Aurélie en me guidant vers son autre mamelon, qui apprécia déjà. — Mais je veux goûter à une autre partie de toi, dis-je en ouvrant les yeux pour regarder dans les siens. — Hmmm... Je vais aimer cela. Et, en passant, mon « autre partie » est beaucoup plus douce. Elle rigola, souri et m’embrassa à nouveau. En un seul mouvement, je lui attrapai les jambes derrière chacun de ses genoux et les soulevai à côté d’elle, les écartant, exposant complètement sa chatte lisse et son trou du cul. Je me trainai légèrement en arrière pour obtenir une meilleure position. Aurélie ria et détourna les yeux, se sentant embarrassée et pourtant excitée. Ses lèvres de chatte magnifiques comme une fleur s’ouvrant pour le soleil, un matin de printemps après une nuit de pluie. Je pus voir le jus de sa chatte dégouliner, son corps se préparant à ma progression. Je fus submergé par la luxure et je commençai à dévorer la chatte de maman, léchant et suçant son clitoris, la faisant gémir de plaisir. Ses mains se serrèrent et tirèrent les draps et les oreillers derrière elle. Je passai ma langue dans ses lèvres juteuses, goûtant son doux nectar. Je forçai ma ...
... langue aussi profondément que possible à l’intérieur de son vagin trempé. Je positionnai alors la langue vers le haut, en suçant, en embrassant et léchant. Rien ne fut hors limites. Je suçai et languetai son petit trou de pipi en passant devant, prêtant attention à chaque détail de sa nature féminine. Sa chatte fut chaude, presque rougeoyante, et son clitoris sensible battit alors que je le stimulai sans relâche avec ma bouche. Le plaisir pour elle fut si grand, elle put difficilement dire un mot. Elle tordit son corps et haleta alors qu’elle endura les sentiments intenses qui la traversèrent. — Thomas ! Je te veux en moi, dit Aurélie de la manière la plus délicate. Sa voix sensuelle futpresque musicale en parlant. Elle posa ses mains sur ma bite, la guidant vers son trou de chatte affamée. Je la pénétrai lentement. Elle fut incroyablement serrée ! Sa respiration devint lourde et elle fit de petits bruits quand elle expira, même quelques mots. — Ohh... Yess... Bébé plus profond... Oh, mon dieu, tu es large et long mon amour... J’aime me lança-t-elle comme si elle ne connaissait pas ma queue Je au tiers de ma queue en elle. Je me balançai d’avant en arrière, entrant et sortant d’elle puis poussa plus profondément. J’eus la moitié, puis encore plus, toujours plus puis les deux tiers. — Oh, amour, je te sens si bien. Et mon Dieu ! Tu es serrée ! Dis-je. Sa chatte douce et humide s’enroula autour de moi comme un gant de taille trop petite. Son vagin se convulsa, me serrant de la ...