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Retour aux sources du plaisir avec ma cousine (1)
Datte: 09/05/2020, Catégories: Inceste / Tabou
... qu’elle travaillait à plus de trois heures de Tunis, et qu’elle arriverait ce soir après sa semaine de travail. Elle était la talentueuse créatrice de bijoux artisanaux basée à Sfax. J’étais impatient de la revoir. Dans mes souvenirs, c’était la plus belle. Telle Blanche Neige, elle était d’une peau très claire faisant ressortir ses cheveux noirs. Sa peau était d’une douceur égalable à celle des fesses des bébés. À la vue de son visage, tous les hommes restaient de marbre. Des yeux en amande d’un noir profond, un petit nez rond, des pommettes rosées naturellement et une bouche aux lèvres pulpeuses. Du haut de ses 1m57, elle savait toujours mettre ses formes en valeur. Une poitrine ni trop petite, ni trop volumineuse, une taille parfaite bien ronde pour être tenté de les dévorer. Un fessier ferme affichant des courbes d’une beauté à donner des chaleurs aux hommes de foi. Le tout dans une silhouette athlétique. Mais de tous ses charmes, celui que je préférais était son sourire d’une blancheur avec une particularité qui me faisait fondre. Elle avait une fossette qui se créait juste au-dessus des lèvres qui me donnaient déjà envie de l’embrasser enfant. A t’elle changé, je le saurais dès ce soir. « Ding dong » quelqu’un sonne à la porte, c’est surement elle, Zahra. Mon cœur commence à battre dans ma poitrine à une vitesse folle. Comment était-elle devenue, me reconnaîtra-t-elle, était-elle heureuse, allons nous retrouver notre complicité ? La porte s’ouvre devant moi et ...
... j’aperçois une silhouette. Ça y est, c’est sûr, c’est bien elle, Zahra. Après tout ce temps, elle n’avait pas changé. Une beauté sans pareil, étant enfant, je souhaitais l’embrasser, aujourd’hui étant adulte, ce sont des pulsions sexuelles que j’avais pour elle. Que suis-je en train de penser ? C’est ma cousine, je ne peux pas avoir ce genre de penser. « A table !!! ». Sortie de nul part, ma tante me ramène à la réalité. Et nous allions ensemble dîner et rattraper les temps perdus en se racontant les histoires de nos vies. Dans la deuxième partie de soirée, Zahra me propose d’aller boire un verre dans un hôtel cinq étoiles du centre de Tunis. C’est « the place to be », l’endroit parfait pour savourer des cocktails en se faisant bercer par une musique entrainante. Nous nous sommes installés dans une coin reculé, pour parler tranquillement. L’alcool aidant, les sujets variés défilés, famille, travail, loisirs et plaisirs charnels. Ainsi, j’apprenais la naissance de ses deux filles, à son récent divorce et son choix difficile d’aller vivre loin de ses enfants pour tenter de réussir à nouveau dans l’art. À travers ces mots, j’avais la drôle de sensation qu’elle ne me disait pas tout. Après avoir tourné autour du pot, elle m’avoua que l’alcool lui permettait d’oublier ses malheurs. À l’écoute de ses mots je l’ai prise dans mes bras pour lui faire sentir qu’elle n’était pas seule et qu’elle pouvait compter sur moi. Je lui redonnais le sourire en lui racontant les conneries qu’on faisait ...