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DialNet - Round 5
Datte: 09/05/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Voyeur / Exhib / Nudisme
... Oui.M : Et tu te défends ?C : Oui. Ça fait partie de mon excitation de me défendre. Je ne reste pas plantée à me faire frapper, je me rebelle. C’est pour ça que les plans SM style donjon ou club, ça ne me plaît pas. C’est convenu. Moi je veux du réel. Si le mec n’assure pas en face, il en prendra pleins sa gueule !M : Ah donc c’est plus une baston que tu recherches.C : Disons que ce qui m’excite, c’est qu’on me brise. Qu’on me fasse mordre la poussière réellement.M : Et ensuite ? Une fois que tu es brisée ? Qu’on te force sexuellement ?C : Oui.M : Si tu n’es pas brisée avant puis forcée, tu parviens à jouir ? De façon conventionnelle je veux dire.C : Non.M : Mais si on te cogne et qu’on te force, là tu jouis ?C : Oui parfois. Surtout s’ils sont plusieurs.M : Sexuellement, tu acceptes quoi ?C : Tout, vu que je suis contrainte.M : Tu te rends compte que tu es une malade, Chérifa ? Qu’il n’y a qu’une personne vraiment très perturbée pour n’être capable de jouir qu’en étant battue et violée.C : Oui je sais, c’est bon… Je suis consciente de ça.M : Pourquoi est-ce que tu aimes qu’on te maltraite et qu’on te force ?C : Je ne sais pas.M : Attention, tu connais ma seule condition : si tu me mens, tu t’en vas. Je ne te donnerai pas une autre chance. Je te repose la question : pourquoi est-ce que tu aimes qu’on te maltraite et qu’on te force ?C : Ça remonte à longtemps. J’étais jeune. C’était mon beau-père.M : Lui uniquement ?C : Non lui et d’autres. Y compris mon… mon vrai père.M : ...
... Tu étais jeune comment ?C : Très jeune.M : Ils te forçaient ? Te maltraitaient ?C : Oui.M : Tu aimais ça ?C : Non, je détestais ça. Je me dégoutais de devoir supporter ces saloperies. D’être faible. Je me faisais horreur.M : Et pourtant maintenant c’est ce que tu recherches ?C : Oui. Mais parce qu’il n’y a comme ça que je peux jouir. Ils m’ont abîmée. Je veux dire psychologiquement. Je ne suis plus normale.M : C’est quoi être normale ?C : Faire l’amour doucement avec des caresses. Avec un homme gentil qui fait attention. Qui ne pense pas qu’à lui.M : Tu as essayé une thérapie pour retrouver ce genre de rapport ?C : Non. Maintenant je suis comme ça. C’est anormal mais je suis habituée.M : Et donc si nous faisons affaire, tu t’attends à quoi de ma part ? Que je t’organise des plans avec des inconnus ?C : Oui. Où que tu t’en occupes toi.M : Je ne me bats pas avec les femmes que je torture ; je les torture, point barre !C : Tu peux avoir des copains qui me brisent et ensuite tu prends le relais…M : C’est une idée. Il faudra juste que je trouve des types qui acceptent de partir une fois que tu seras brisée, je n’aime pas la concurrence ou le public quand je travaille. Maintenant voyons un peu ce que tu as à offrir : enlève ton sweet-shirt.Chérifa se lève et passe le vêtement par-dessus sa tête. Elle est effectivement très musclée et elle arbore de nombreux tatouages plus ou moins récents. C’est très artisanal, mal réalisés et uniquement à l’encre noire. La plupart des dessins ...