1. Les lettres d’une libertine – Entre des mains de fer (1/1)


    Datte: 10/05/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... mot « frisson », que j’avais choisi, prononçable à tout instant mettrait fin immédiatement aux jeux et au WE par là même. Je failli le prononcer immédiatement car je n’étais pas tenté par la perspective. En même temps j’eu un flash : les jeux que nous avions eu, entre-nous (voir les lettres d’une libertine – le pari) m’avaient laissés une excitation cérébrale importante et un souvenir qui n’était vraiment pas désagréable, tout au contraire. Il prit soin de me les mettre aux poignets et aux chevilles, réglant la chose à la perfection. Puis il prit le sac de voyage, me tendit mon manteau et nous prirent la route pendant 1 heure en direction de Tours. Une grille aux fers forgés s’ouvrait tandis qu’un gyrophare orange clignotait. Ainsi apparue une allée seigneuriale de tilleuls. C’est tout ce que je fus admise à voir, car il me présenta le classique bandeau à mettre sur mes yeux. Mes mains devinrent moites et les bracelets de cuir prirent toute leur dimension. J’avais déjà pris la posture d’une soumise rien qu’à accepter le fait d’y aller. J’enrageais après moi-même de cette faiblesse liée à des souvenirs désormais un peu fanés. La Voiture s’immobilisa et la portière s’ouvrit, une main saisie la mienne et, avec douceur et fermeté, m’invita à me sortir du siège. Mes talons prirent appuis sur un dallage, on me fit pivoter, on me cambra, me releva la jupe sans autre forme de procés et une main caressa directement mon fessier, pour en apprécier la douceur, la fermeté et le rebondi. ...
    ... Une claque tomba sans prévenir sur le gras du rebondi fessier. Je bronchais tout en accusant la surprise ! Sa puissance était fort bien ajustée et le tour de main était expert. Une voix grave et très très charismatisque m’indiqua que j’étais la bienvenue et qu’ici je serais éduquée à laisser la chienne qui dormait en moi s’éveiller durant les prochaines heures. Je voulu répondre mais alors que ma bouche formulait le 1er son, une autre claque ajustée sur la seconde fesse me dissuada de poursuivre. La voix poursuivie : « tu as mis mon cadeau c’est bien. Ces bracelets me permettront de briser l’insoumission naturelle dont ton mari m’a fait part ». Puis, mon corps pivota à nouveau, mes mains saisies et l’on me guida à gravir un escalier, passer une porte, marcher sur une moquette ou un tapis, descendre des marches puis mise à genoux sur le matelassé d’un siège, bras appuyés sur le dossier et tête courbée. « en signe de respect, m’indiqua la voix ». Du respect ? Mon cul oui … de la perversion typiquement masculine ! Ma jupe était retroussée à nouveau, mon shorty descendu sur mes genoux sans autre fioritures et une main apprécia à mon nouveau mon fessier et manipula le rosebud et tester ainsi la souplesse de mon anneau de bronze. La voix manifesta son appréciation sur la qualité de l’objet mise à sa disposition. Un doigt parcouru alors ma fente, en écarta les lèvres humides, se fit inquisiteur sur l’entrée de la vulve, frôla le clitoris avant de quitter la zone en caressant mon mont ...