Une soirée plus que parmi d'autres - Histoires de Sexe

Une soirée plus que parmi d'autres

... que ce ne sera pas la dernière fois. J’aimerais beaucoup pouvoir vous le redire très souvent par la suite…— Ah oui ? Pour couper court et lui démontrer mes dires, je l’embrasse à nouveau, nos langues se caressent mutuellement, nos lèvres se soudent voluptueusement, tandis que je caresse ardemment son beau petit cul potelé. C’est elle, qui la première, se détache : — Hou ! On peut dire que vous y allez de bon cœur… à votre façon…— Ma façon vous déplaît, Francine ?— Pas du tout ! C’est très agréable ! Ça me change de tous ces… comment dire… idiots qui zappent complètement les préliminaires !— Vous avez souvent eu ce genre de… désagrément ?— Assez pour pouvoir le regretter. J’espère vivement que vous vous ferez un plaisir d’effacer cette mauvaise impression.— Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir. Et même plus encore !— Je ne demande pas mieux, Romain… Francine me confirme qu’elle n’en est pas à son premier coup d’essai, bien que, à prime vue, son allure pouvait donner à penser le contraire. L’habit ne fait pas toujours le moine… Même si beaucoup de gens pensent le contraire. Un coup d’œil au mari m’indique que, lui aussi, il est satisfait de la tournure des événements. Ce couple fonde décidément un certain espoir en moi. Je vais tâcher de ne pas les décevoir. Désireux de tout découvrir chez Francine, je m’agenouille pour venir m’occuper du bas de son anatomie. Mes mains caressent ses jambes, ses cuisses, ses fesses, son ventre naissant. J’égare mes lèvres aux mêmes endroits, ...

... auxquels j’ajoute un délicat pubis que je couvre de baisers. Plus haut, je sens bien que sa propriétaire aime ce genre d’hommage caressant et bisoutant. Je m’offre le luxe d’aller parfois m’attarder à l’orée d’une mignonne fente qui ne semble attendre que mes respects. Puis je remonte lentement de son pubis à son ventre puis à son décolleté dont je n’oublie aucun centimètre carré, même sous le collier. Je glisse sur son cou, je mordille délicatement son oreille pour revenir sur sa joue. Du bout de la pointe de ma langue, je suis l’ourlet de ses lèvres. Durant tout ce temps, elle frissonne et je sais que ce n’est pas de froid. Je lui donne un nouveau baiser tout tendre, tandis que je continue de caresser ses fesses. Comme tout à l’heure, elle y répond avec un certain enthousiasme. Alors que nos lèvres se détachent et qu’elle pose sa tête sur ma poitrine, je l’entends me dire : — Eh bien, vous, vous savez prendre votre temps !— Vous souhaitez que j’aille plus vite ?— Honnêtement, je ne sais pas quoi vous répondre. J’adore ce que vous me faites et en même temps, je ne serais pas contre… euh… le fait d’aller un peu plus loin.— Alors, mélangeons les deux. Je l’embrasse à nouveau, voluptueusement, sensuellement, lascivement, tandis que je relève plus haut encore sa robe. Je m’arrête sous ses seins, puis je fixe le tissu avec l’épingle à linge donnée plus tôt par son mari. C’est à présent une bonne partie de son dos que je caresse à présent, sans oublier bien sûr d’aller voir plus ...