1. MA BELLE MERE NOUS AIDE A DEMENAGER


    Datte: 11/05/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... enfin sa chatte dont le parfum m enivra. Je lechait l interieur de son sexe, goutant à la saveur de sa mouille abondante. J’aspirais son clito, le mordillant, Monique plaquait ma tête contre sa chatte, ses gemissements devenant des rales, son basin ondulait et je profitais de glisser un doigt dans son vagin tout en aspirant son clito. Les jambes de belle maman se crispérent, elle poussa de petits cris et sa liqueur innonda mon visage. Monique venait de jouir. - Ah que c’est bon Julien, jamais je n’avais joui en me faisant lecher comme ça. C n’est pas finit hein, tu vas me prendre à quatre pattes, viens. Joingnant je geste à la parole, voilà ma belle-mère à quatre pattes sur la moquette me tendant sa large croupe et son sexe poilu, trop poilu à mon gout tout ouvert et luisant de mouille. J’ai présenté mon sexe à l’entrée de cette grotte tant convoitée et la penetra d’un coup. Je cognais contre ses fesses, ses seins balottaient sous elle, on les entendait s’entrechoqués au rytme de mon pilonage. Je devenais fou, je baisais ma belle-mère avec rage et elle aimait ça, grognant et demandant d’accélérer. Je malaxais ses fesses rondes et apercevant son petit trou, je risquais un doigt qu’elle refusa en me priant. Je jouis, envoyant de puissants jets de sperme au fond de sa chatte et Monique jouis aussi à son tour pour la deuxieme fois. Nous sommes écroulés tous deux côte à côte, Monique me souriait et m embrassa à pleine bouche me remerciant de ce moment. - Merci mon gendre, j’ai ...
    ... eu du plaisir et j’espere que tu m’en redonneras. Je suis etonné moi-même des mots qui sont sortis de ma bouche, mais l’excitation était trop forte, je n’ai jamais été aussi vulgaire, tu m’as baisé comme une chienne, veux-tu je sois ta salope ? Je ferais ce que tu veux. Je suis resté sans voix devant ces mots, que je ne pensais jamais entendre d’elle, cette femme bourgeoise, que je n’avais jamais entendu parler de la sorte et je profitais de la situation. - Bien sûr, je le veux, mais faudra déjà me retirer tous ses poils, je te veux la chatte toute lisse ainsi que la raie de tes fesses. Puis il faudra aussi que tu me donne ton cul, un jour proche je t’enculerais. - Oui, tout ce que tu voudras, mais il est vierge, il faudra être patient et doux. Maintenant il faut avancer, retournons au travail. - Ok, allons y. A encore une chose, il faut changer aussi tes dessous, pas sexy tes culottes de conton. Elle sourit en se rhabillant et la journée de labeur se termina vers 17h00. Nous retournions à l’ancien appartement après qu elle est retirée sa blouse et remis sa robe. Sur place ma femme avait laissé un message sur le repondeur nous disant ne pas rentrer avant 19h00 et que nous irions en ville, diner au restaurant. Monique me souriait passait sa langue sur ses lèvres. Elle était assise sur le bord de la table de la cuisine la robe relevée, les jambes écartées et sans culotte. - On n’a pas beaucoup de temps, mais baise moi, comme ça, là sur la table. Je me suis mis nu, je bandais ...