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L'amour d'un père (13)
Datte: 13/05/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... Elle continue de le masturber fermement pour décupler son plaisir et la quantité de foutre. Elle dirige sa bite de façon à ce qu’elle en ait partout et qu’il la souille un maximum. C’est vraiment une perverse. Lucas ne rate rien du spectacle : — Aaah ! Putain ! Angela ! Tu es vraiment une salope ! — Oui ! Ta pute, petit frère. Celle que tu peux venir couvrir de ton foutre dés quand tu as envie. — Aaaaah ! En voyant ça, j’atteins moi-même mes propres limites et sens que mes bourses sont prêtes à cracher leur venin. J’attrape ma queue pour m’astiquer devant le visage de mes deux démons. Celles-ci se collent joue contre joue devant ma bite en ouvrant la bouche pour me recevoir comme des chiennes dociles. Je leur gicle dessus en hurlant. Je les salis de mon jus qui éclate en salves copieuses. Je vais de l’une à l’autre pour essayer de ne pas faire de jalouse. Je leur en fous sur le nez, les cheveux et les yeux. Lily est obligée de fermer le gauche. Elles dégoulinent de partout comme si un régiment venait de leur passer dessus. Quand j’ai enfin fini, j’ai besoin de m’assoir. Ces petites jeunes m’ont complètement vidé, elles sont chaudes comme leurs mères. Mon foutre patriarcal coule le long de leur corps, sur leurs seins jusqu’au nombril. Je contemple avec fierté ce que je viens de faire. Ce sont MES filles couvertes de MON foutre. Je viens de marquer mon territoire comme pour défendre quiconque de s’en approcher. Elles se tournent vers l’autre et se lèchent le visage pour ...
... récolter mon sperme, elles se font leurs toilettes comme deux petites chattes en chaleur. Erika me lance des regards pour m’exciter davantage. Elles échangent le fruit de leur labeur avec de langoureux baisers. Des filets de foutre relient parfois leurs lèvres avant de se détacher. Je soupçonne que ce n’est pas la première fois qu’elles font ça. Elles ont déjà dû s’amuser à ce petit jeu avec leurs frères. Elles s’enlacent ensuite tendrement comme si elles étaient amoureuses, c’est craquant. Leurs seins couverts de traces de sperme se pressent les uns contre les autres. Voilà qui va encore alimenter mes fantasmes durant un moment. Après cela, nous nous installons ensemble dans le salon afin de reprendre nos esprits. Nous ne disons pas grand chose. Nous sommes affalés chacun avec nos partenaires. J’ai mes petites filles dans chacun de mes bras qui posent leurs têtes contre mon torse. Personne n’a pris le temps de faire sa toilette. Angela a toujours le visage couvert du foutre de son fils. Nous sommes heureux, sereins, apprécient simplement la compagnie des uns des autres. J’ai enfin pu dormir dans le lit de mes deux petites mamans ce soir-là. Cela faisait plus d’une décennie que ce n’était plus arrivé. Ce sont peut-être mes filles, mais dans mon cœur, ce sont mes femmes, et je suis leur mari ; c’est ici qu’est ma place. Elles m’ont réveillé par surprise avec une pipe. Ce que cela me manquait ce genre de petite gâterie du matin. Je leur ai fait l’amour après qu’elles aient fini de ...