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L'amour d'un père (13)
Datte: 13/05/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... peur aussi. Je me demande ce qu’elle craint : que son fils ait envie d’elle ? Ou de réaliser le contraire ? Elle le fixe pleine d’attentes ; quand il se penche vers elle pour coller ses lèvres aux siennes, ma petite fille s’illumine de bonheur. Je savais qu’au fond elle avait envie de son fils depuis bien longtemps, je suis heureux pour eux. Je vois Lily rester désespérément seule. Elle regarde tout le monde échanger des baisers avec jalousie et tristesse. La pauvre doit se sentir délaissée. C’est stupide : tout le monde l’aime, elle n’a qu’à choisir avec qui elle veut aller, personne ne la repoussera, mais elle est trop timide pour faire le premier pas. Je sens qu’elle a besoin d’un coup de main : — Viens Lily, vient voir papa, lui dis-je. Je vais te faire l’amour à toi et à ta sœur. Elle est plus que ravie de me rejoindre. Nos langues s’entremêlent rapidement, je me sens le plus heureux des hommes d’avoir ces deux jeunes filles rien que pour moi. Mes deux adorables petites filles, je suis si fier d’elles ; et de moi de les avoir faites. Nancy se met à genoux devant son fils et se met à le sucer. L’amour qui pétille dans ses yeux fait plaisir à voir. Timidement, Angela entreprend de faire de même. Lucas se met debout tandis qu’elle défait sa braguette. Elle fixe le sexe bandé qui en sort avec fascination. Il est beau, il est gros, il est jeune, et c’est celui du bébé qu’elle a porté dans son ventre. Je sens qu’elle un peu honte d’en avoir envie, mais sa libido prend vite ...
... le dessus : elle l’avale avec bonheur et lui montre comment sa mère sait faire une pipe à un homme. Mes deux petits anges aussi commencent à défaire mon pantalon après d’être mis à genoux devant moi. Elles jouent avec mon sexe bien dur sans se servir de leurs mains. Elles le coincent entre leur bouche et font coulisser leur langue du long de la tige jusqu’au gland ; c’est splendide, on dirait qu’elles ont fait ça toute leur vie. Assit sur ma chaise, je me régale du spectacle de mes deux petites chiennes qui cherchent à me donner du plaisir. Je leur caresse les joues et les cheveux. Elles sont si mignonne, j’ai hâte de m’enfoncer dans leurs chattes et leurs culs. Je jette un coup d’œil autour de moi. Les mères sucent leurs fils, tandis que ceux-ci soupirent de bonheur. Je n’ai jamais été aussi fier de ma petite famille. C’est moi qui l’ai fondée, ce sont tous mes enfants, je suis leur patriarche. Pour le moment, les filles s’attèlent à faire du bien aux garçons, mais bientôt, nous leur rendrons la pareille. Cela ne tarde d’ailleurs pas. Nancy, impatiente, bondit sur la table et s’allonge sur le dos en se retenant par les coudes. Le fixant d’un regard aguicheur, elle écarte lentement les jambes pour lui dévoiler son intimité. — Viens, mon chéri, dit-elle. Maman a envie de toi. Il ne se fait pas prier : il s’approche d’elle, son sexe en main, profite de la vue un instant, puis s’introduit dans son conduit d’amour accueillant. Ce n’est pas la première fois que je vois mon petit ...