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L'amour d'un père (13)
Datte: 13/05/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... à regarder. Je suis heureux de constater que mes deux bébés s’aiment autant que leurs mères. Au point que lorsqu’Erika décide de mettre fin à leur échange, Lily a ce réflexe de se pencher en avant pour chercher ses lèvres. Erika trouve d’autres moyens de s’occuper : elle joue un moment avec les seins de sa sœur avant de disparaitre derrière elle. Je m’interroge sur ses intentions avant de comprendre quand je la sens me lécher les couilles. — Ah ! Salope ! dis-je. Tu vas me faire gicler dans ta sœur si tu continues comme ça. — Pitié papa, laisse-moi te sucer un peu, rétorque-t-elle. Je soulève Lily pour faire sortir ma queue de sa chatte. Elle a à peine le temps de retrouver l’air libre qu’Erika plonge dessus pour la prendre en bouche. Elle l’avale de toute sa longueur et la dévore goulument ; elle me fait beaucoup de bien. Lorsqu’elle estime en avoir eu assez, elle redirige mon sexe vers le con de sa sœur. Cette dernière s’empresse de se laisser retomber dessus quand elle sent le bout de mon gland à son entrée ; elle en gémit de bonheur. — Vous êtes beau ensemble, commente-t-elle en nous regardant copuler. Je suis jalouse. — Tu n’as pas à être jalouse, ma puce, fais-je. Je vous aime toutes les deux, et vous ferais l’amour avec la même passion. — En attendant, ma chatte se sent se vide et mon cul hurle aussi pour de l’attention. — Hmm, tu as raison, je ne peux pas te laisser comme ça. Lily, cela ne te dérange pas ? Elle fait non de la tête. Erika prend alors sa place. Je ...
... gémis lorsque je retrouve son vagin, il a l’air plus trempé qu’avant : — Aaah, putain, ce que j’adore vos chattes. — Moi, j’adore ta queue, mon papa chéri, répond-t-elle. Tu as la plus grosse de la famille. Je me demande ce que quelqu’un dirait s’il entrait et nous découvrait en train de baiser tous ensemble de la sorte. C’est une véritable orgie. La pièce est remplie de nos cris et de nos soupirs. Nous exprimons notre amour les uns pour les autres sans contrainte ni pudeur. Je suis si fier de mes enfants et si fier d’être leur père. J’espère que nous organiserons ce genre de petite soirée régulièrement, c’est tellement bon. Erika se déchaine comme une furie. Je pense qu’elle n’est plus très loin de l’orgasme, je le lui demande pour en avoir confirmation : — Tu vas bientôt jouir, ma chérie ? — Oh, oui papa, je n’en peux plus, j’en ai trop besoin. — Ne te retiens pas ma puce, jouis pour papa, je veux te voir en train de prendre du plaisir. — Oooh, aaaah, hmmm, ouiiiii... Elle cherche à se finir. Je lui pince un téton et prend l’autre en bouche pour l’aider. Cela à l’effet escompté : elle se cambre brusquement avant pousser un long râle de plaisir. — Vas-y, ma chérie, jouis sur la bite de papa. — Oooooooooooh, papaaaaaaaaaaaaa, crie-t-elle. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii. Elle est si belle à regarder quand elle jouit, je n’en rate pas une miette. Ses mouvements ralentissent jusqu’à s’arrêter complètement. Elle s’écroule contre moi, ses bras autour de mon cou. Je le lui embrasse tendrement et ...