(Vue sur internet) Mon épouse et ses collègues 1
Datte: 13/05/2020,
Catégories:
Anal
Partouze / Groupe
Inceste / Tabou
... canapé laissant la moitié de son postérieur en suspension dans le vide. La femme est ainsi bien arrimée et bien calée sur la verge totalement introduite, le sphincter distendu ne laisse à l'extérieur qu'une paire de couilles bien pleines qui adhérent si bien au bas ventre féminin que l'on ne sait plus dire à quel corps elles appartiennent. Le vagin, au-dessus de cet emboîtement contre-nature, apparait grand ouvert, palpitant, suintant de cyprine, attendant impatiemment le mâle désigné à couvrir cette femelle en chaleur.C'est bien sûr Gérard qui s'avance, son formidable vit à la main. Il s'agenouille de part et d'autre des jambes du garçon et entre les jambes de la fille dont il saisit les genoux et les remonte à hauteur de ses épaules. Le gland se retrouve parfaitement à hauteur dans le bon alignement, il le pose à l'entrée de la grotte brûlante et, d'un formidable coup de rein, il le projette en avant directement au fond de la vulve, abouté au col de l'utérus. Ma femme pousse un grand cri: « Haaaannnnn! ». On ne sait si c'est un cri de douleur ou de plaisir. Peut-être les deux à la fois. Ma femme se retrouve en sandwich, prise à la fois par les deux hommes dont les membres de tailles peu ordinaires sont profondément enfoncés dans les deux orifices, seulement séparés par une mince membrane.Il reste pourtant un orifice de libre. C'est à ce moment que Jean-Luc bondit sur le canapé, enjambe les corps et se place de part et d'autre du torse de mon épouse. Il brandit son ...
... braquemart devant le visage de la femme qui, en bonne femelle asservie, ouvre déjà la bouche, prête à recevoir l’offrande. Jean-Luc s'y précipite, s’engouffre dans cette cavité si complaisamment offerte et s’enfonce directement jusqu'aux amygdales. Il conserve quelques instants la position, coupant carrément la respiration de la femme embouchée. Celle-ci, au bord de l’asphyxie, au visage devenu cramoisi par le manque d'oxygène, se met à tambouriner de ses deux poings sur la poitrine de l'agresseur. Je regarde médusé cette scène qui sort vraiment de l'entendement. Jean-Luc se maintient puis consent enfin à lâcher la pression et à libérer mon épouse qui reprend petit à petit une respiration normale. Un flot de bave s'écoule de sa bouche et inonde sa poitrine. Puis elle y retourne, ouvre de nouveau sa bouche en grand, appelant par la même une nouvelle intromission, ce que ne manque pas de faire son partenaire. Cette fois, il évite de l'asphyxier, se contentant de baiser cette bouche comme un sexe mais en introduisant tout de même à chaque aller sa queue jusqu'à la garde, écrasant le nez de sa partenaire contre ses poils pubiens, les couilles collées contre le menton.Pendant ce temps, Gérard s'est mis en branle. Son sexe sort quasi complètement du vagin, puis se réintroduit par un brutal coup de rein. Le choc fait reculer le corps de la femme, et, du même coup, par inertie, sortir quelque peu la bite de Guy du fondement mais celle-ci reprend aussitôt sa position initiale au fond des ...