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Rêve de paradis sexuel
Datte: 14/05/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... pompe sur mes couilles afin de procurer à sa maîtresse un maximum de sirop de corps d’homme. Nora se relève, ouvre la bouche : elle a gobé tout mon foutre, elle est fière de cette communion ! Louise lui présente son sexe et lui demande d’y puiser le liquide de ma première giclée. Les yeux de Nora disent l’infini plaisir de retourner boire à cette source et le temps passé à téter les lèvres de la vulve ou à en fouiller les recoins plissés lui permet de faire jouir ma femme. Nous nous reposons, nos mains touchent les peaux en tous sens. Du temps passe, j’ai oublié de retourner au travail cet après-midi. - Mon chéri, Nora veut jouir avec toi. Baise-la. Il y a si longtemps qu’aucune bite n’a pénétré son frifri. Sois bon et généreux, prends-la. Je te le demande au nom de notre amour. Pour une fois elle oublie l’habituel « amour impérissable ». - Hervé, ce sera une bonne action, pas un adultère. Complète l’union de nos trois cœurs par l’union de vos deux corps, je t’en prie, pour l’amour de moi. Nora relève ses jambes, me regarde amoureusement. Je connais sa bouche. Louise conduit mon membre au seuil du sexe à remplir et à faire jouir. Pour durcir mon pénis, elle le masturbe d’une main et le suce. De l’autre main elle prépare l’entrée du vagin à connaître. Nora a ouvert son sexe avec ses deux index, dégagé le losange rose au milieu duquel Louise promène et enfonce un index et un majeur. -Bon, vous êtes prêts, bien lubrifiés, pénètre-la et aime-la comme tu m’aimes, je le veux, mon ...
... amour. Soif d’amour, gratitude, reconnaissance, envie de plaire et de profiter du moment, tout contribue à donner à cette amante particulière inespérée, imprévue, un attrait formidable. Ma femme le veut, je ne me pose pas de question, je fonce, je défonce. À grands coups de reins je pénètre au plus profond, je pioche avec entrain, je creuse avec enthousiasme, je sens les frissons de ce vagin renaissant à la vie, ses contractions violentes autour du pieu en exploration dans ces profondeurs désertées. Elle m’accueille, referme ses bras et ses jambes sur ce corps d’homme enfin retrouvé. Deux femmes l’ont voulu. Louise m’accompagne, glisse une main entre nos poitrine pour caresser les seins ou envoie un doigt dans l’anus de la femme, en parallèle à ma queue prise dans le sexe, elle gratouille l’entrée de l’anus de Nora, s’enfonce dans ses entrailles. Alors Nora se cambre, lève son ventre, arque son dos, me soulève. Son excitation est contagieuse, je pilonne, je laboure cette friche inexploitée, et, dans un grognement sourd, j’y sème ma graine. Il m’est impossible de me retirer : - Reste, crache dedans, crie Louise. Louise s’est assise sur mes fesses, me maintient au chaud et me plante un doigt. J’éjacule longuement. Nora gémit, dit : - Baise-moi fort, je t’aime. Je roule sur le côté. Louise se précipite pour recueillir sur sa langue et l’avaler le filet blanchâtre du sperme de son époux renvoyé hors du berlingot honoré par son homme et elle relance l’orgasme bruyant de « notre » ...