1. Severine


    Datte: 14/05/2020, Catégories: Anal Partouze / Groupe Sexe Interracial,

    ... n’avez pas honte, bande de voyous ! » hurle t’elle. L’un d’eux tente de se justifier avec un fort accent de jeune de cité. « Qu’est ce que tu nous veux toi ! on attends un petit frère ! » Séverine, hors d’elle, reprend : « Vous n’avez rien à faire, ici ! Filez ou je préviens la gendarmerie !! » Furieux, les jeunes s’en vont et disparaissent. Fier d’elle et de son autorité avec une impression d’avoir chassé le vice de son environnement, elle rentre avec son ami dans le réfectoire. Son intervention fait le tour de la petite école et on la félicite. Enthousiasmée par tant de reconnaissance et son acte héroïque, Séverine décide de rester travailler un peu plus tard que d’habitude d’autant plus qu’elle n’a pas à s’occuper de ses enfants. Puis elle pense à son mari et après avoir classé un peu de courrier, décide de rentrer préparer le dîner. Elle ferme à clef son lieu de travail et prend le chemin de son véhicule.Soudain, une voiture blanche la frôle à une vitesse incroyable et freine d’un seul coup. Séverine sursaute . La voiture recule et se met à son niveau, il y’a quatre jeunes d’environ 18-20 ans. L’un d’eux, un beur à la casquette blanche qui semble être le chef du groupe l’interpelle : « Alors, la bourge, y paraît que t’as envoyé balader trois de nos frangins ce midi ! » Séverine ne dit rien et les ignore d’un air hautain. La musique est à fond , c’est du rap et Séverine déteste ce style de musique. Elle correspond à une catégorie sociale qu’elle méprise. Elle a quelques ...
    ... préjugés racistes et n’aime pas ces jeunes de banlieues qu’elle considère comme des parasites de la société. La jeune femme se dirige vers la voiture. « Eh, dis donc la bourge, c’est pas poli de pas répondre au gens ». Cela en est trop et Séverine se lâche : « fichez moi le camp, bande de racaille inutile ! ». L’arabe sort furieux tandis que le conducteur, un rouquin , monte le son. « Tu te prends pour qui, salope ! Tu vas voir ! » L’un des gars à l’arrière ouvre la portière et le beur ayant saisit la femme par les bras, la pousse sans ménagement dans le véhicule.Puis il rentre et la voiture démarre en trombe. Séverine n’a rien compris de ce qui s’est passé et une main lui obstrue la bouche. Elle est allongée sur les genoux des deux jeunes de derrière. La femme sent les mains parcourir son corps et elle commence à se débattre mais cela est vain. La voiture fait une vingtaine de km et se gare enfin prés d’une bâtisse abandonnée qui fait office de squat. C’est un véritable chantier. D’ailleurs, il y’a une dizaine de jeunes à l’intérieur qui boivent des bières. Séverine est extirpée sans ménagement de la voiture. « C’est qui cette pute ?» demande un squatter. « C’est une bourge qui prétend que nous sommes une bande de racaille inutile ! ». L’assemblée commence à la reluquer de la tête au pied comme une sorte de marchandise. Le beur s’empare de son sac à main et le vide. Séverine, apeurée et humiliée par les regards salaces de ses ravisseurs bafouille : « P …prenez tout !! » Le ...
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