1. comment je me suis découverte (16)


    Datte: 14/05/2020, Catégories: Transexuels

    ... -je veux ta bouche L’ordre est clair. Je me mets à genoux, je gobe son sexe déjà très dur. L’eau me tombe sur le visage t j’ai les cheveux devant les yeux. Je m’applique en rentrant son sexe le plus loin possible et en le ressortant complètement. Il gémit. J’aime cette sensation de gérer son plaisir. Je me concentre sur les sons qu’il émet afin d’optimiser la fellation que je lui procure. -oui continue comme çà ma belle, tu suce tellement bien Ces mots m’encouragent et me donne toujours l’envie de faire mieux. -je ne vais pas tenir longtemps entre ton déhanché de ce matin et la douceur de ta bouche maintenant….hummm….j’adooore Sa bite gonfle encore, il se cambre et l’enfonce dans ma bouche. J’attrape ses fesses pour coller son bassin à ma bouche. Il décharge dans un grand râle de plaisir. J’avale ce sperme que je me découvre à aimer. Je nettoie son sexe qui ramollie, je retire les cheveux de mon visage et je le regarde avec un grand sourire de satisfaction. Il passe sa main sur mon visage -tu es faite pour çà ma beauté, donner du plaisir à ton mâle -oui Monsieur et j’aime çà -finis de te laver, tu te prépares je t’ai mis les affaires que tu dois porter sur le lit. Il te reste 1 heure. Je termine de me doucher, passe mon peignoir et me précipite dans la chambre pour voir les vêtements qu’il a préparé pour moi. Et là c’est une grande surprise, voir même une mauvaise surprise. Sur le lit il y a un survêtement type jogging gris avec le sweat coordonné, une paire de chaussette de ...
    ... sport, des baskets noires, un bonnet et des gants. Tous ces vêtements sont 100 % masculins, je cherche de la dentelle au moins pour les sous-vêtements et je ne trouve qu’un shorty en coton noir. Je passe mon kimono, me précipite dans le salon très émue, je suis au bord des larmes -Tu n’es pas encore prête, dépêche-toi je pars dans 5 minutes -c’est quoi cette tenue que tu veux que je porte, je ne suis plus une femme pour toi -tu comprendras plus tard, enfile tous cela que nous partions Je retourne dans la chambre et enfile ces vêtements que je trouve tellement loin de ce que je suis devenue depuis quelque jour. Je ne me sens pas bien et surtout "déguisée" habillée comme cela, ce qui peut paraitre paradoxale. Je n’ai pas pris le temps de "cacher" mon sexe, à quoi bon dans un shorty avec un jogging on ne verra rien. Je rejoins Patrick dans le salon, je le suis jusqu’à la voiture. Il ne m’ouvre pas la porte, il n’a pas de geste affectueux. Je le trouve très distant, pourtant ce matin il était tellement tactile, prévenant et excité d’être avec moi. Ma tête va exploser, je ne comprends plus rien. Nous roulons vers Toulon sans un mot, de toute façon il a mis la musique à fond dans la voiture et sa main ne s’égare pas sur ma cuisse. Le shorty en coton me gratte et m’indispose, alors que la dentelle des tangas ou des strings me parait tellement naturelle. Il gare la voiture au parking de la gare et me demande de le suivre après avoir vérifié que mon bonnet cache bien mes cheveux. Nous ...