1. Sexe en évidence


    Datte: 14/05/2020, Catégories: fh, jeunes, vacances, plage, forêt, fête, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral pénétratio, fsodo, confession,

    ... pas ma copine qui ferait ça ! Je lui fis un signe et lui répondit : — Eh oui ! Je suis bien tombé. Nous nous regardâmes Karine et moi d’un regard langoureux. Je savais que tout cela allait appeler une soirée torride, sans sommeil. La circulation reprenant la voiture des surfers avança. — Salut ! nous dirent-ils et continuez de profiter. C’était ainsi avec elle. Du sexe, des audaces. Je n’avais, avant de la connaître, qu’une image fausse du couple. Je ne pensais pas qu’il était possible, dans une vraie relation, de prendre de telles libertés. Je pensais que la pudeur qui avait été la mienne était la norme. Karine bousculait mes certitudes erronées, me faisait découvrir ses zones érogènes, m’apprenait à la masturber et, comme elle le disait, à la baiser quand elle le demandait. C’était à la fois des moments de romantisme intense, et des moments de sexe débridé. Et à côté de cela, elle assumait son corps, n’avait que peu de pudeur. Elle n’avait pas de gêne à me provoquer dans des endroits publics et dans les soirées. Une fois quelques verres descendus, sa libido s’en trouvait exacerbée. Je me souviens de la première soirée chez des amis à moi où, assis à la table du jardin, tandis que les autres étaient à l’intérieur à regarder un match de football, celle-ci chercha ma braguette afin de libérer mon sexe. Ce soir-là je résistai, ne voulant pas offrir à mes potes cette première image de ma copine. Les férias de ma ville natale furent également l’occasion d’une mémorable ...
    ... fellation sur les bords de la rivière, au soleil levant, et à la vue de tous les passants. La soirée terminée, nos amis étaient rentrés chez mes parents se coucher, et nous devions aller à la rencontre d’un autre ami qui arrivait une heure plus tard. Elle avait beaucoup bu, moi également, et ce fut en riant que je lui proposai dans ces termes, d’aller me sucer quelque part. Comme quoi l’alcool quelque fois arrivait à me débrider. L’idée lui convenait parfaitement. Elle ne pouvait ce jour-là faire l’amour, mais n’avait rien contre me prodiguer ce petit plaisir. Nous partîmes sur les berges de la rivière qui servait aussi de camping aux festayres afin de trouver un coin tranquille. Nous finîmes par arriver à un pont et nous allâmes nous poser contre le pilier, où on ne pouvait nous voir. Nous n’y restâmes qu’une fraction de secondes, l’endroit était infesté d’orties, et mes jambes en faisaient l’expérience. Pas question que mon sexe en fit de même. — Allons plus loin, me dit-elle. C’est-à-dire à peine à dix mètre, à un endroit dégagé et cette fois, totalement en évidence. Après tout, ma bite était déjà toute tendue, alors au diable la discrétion. Je m’assis sur l’herbe, et Karine déboutonna mon pantalon, caressa mon sexe à travers le caleçon, jouant avec délicatement pour faire monter l’excitation, tout en m’embrassant. Nos baisers étaient maladroits, terriblement humides, nous étions vraiment totalement alcoolisés et nos gestes s’en sentaient. — Fais-moi voir ta bite, me dit-elle. Et ...
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