1. Sexe en évidence


    Datte: 14/05/2020, Catégories: fh, jeunes, vacances, plage, forêt, fête, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral pénétratio, fsodo, confession,

    ... de temps sans faire l’amour, que de temps perdu alors. C’est donc ainsi que le soir, alors que les autres dansaient et buvaient, elle me répéta longuement qu’elle voulait me sucer, alors même que nous ne pouvions nous isoler. Le temps passant, ses avances se faisait plus directes, et faisaient écho à mes propres envie, jusqu’au moment où je ne pus que céder. Ainsi, contre un mur, dans un endroit un peu moins éclairé du jardin, j’acceptai qu’elle me descende mon bermuda, et elle se jeta sur mon sexe pour le sucer goulûment. Je me laissai aller rapidement les yeux fermés, le traitement qu’elle m’infligeait était irrésistible quand, en les ouvrant, je vis des amis sortir du salon et regarder avec un sourire dans notre direction. Notre position ne laissait pas d’équivoque, Karine à genoux devant moi, la tête à hauteur de mon ventre. Sa tête inclinée cachait mon sexe, mais sa main à hauteur de sa bouche et les mouvements qu’elle faisait ne laissaient pas de doute sur notre activité. Je me raidis en les voyant et Karine se rendit compte que quelque chose se passait, que l’on était observés. Malgré son impudeur, elle arrêta sa fellation, offrant cependant l’image de mon sexe dressé aux autres. Encore raté pour nous… Curieusement, nous n’eûmes pas de commentaires sur ce que nos amis avaient vus. Sans doute étonnés de cette audace, ils ne savaient que dire. Nous n’avions pas en face les surfers échauffés de nos embouteillages, mais des amis qui, avec un flegme qui aurait pu être ...
    ... britannique, et malgré leur étonnement, furent discrets. L’anecdote sera cependant évoquée avec humour quelques mois plus tard. Deux jours sans sexe et je partais le lendemain, pour commencer un travail d’été. Les autres gars partaient aussi, et nous allions laisser nos copines en vacances, tandis qu’il nous fallait travailler. Une semaine sans voir Karine allait être un long moment à passer. Il m’arrivait de me masturber en son absence, en pensant à nos ébats, et cela serait sans doute nécessaire pour évacuer toute la frustration. Je partis au début de l’après-midi. Je saluai mes amis et Karine me raccompagna à ma voiture. Au moment de m’installer au volant elle me dit : — Il faut qu’on fasse l’amour, j’en ai trop envie. Inutile de dire que je ressentais la même envie, d’une telle intensité qui transformait l’envie en besoin. Nous décidâmes d’y aller sans attendre, et de trouver un endroit où nous ne serions pas importunés. Il y avait à côté de la maison un petit ruisseau avec des bois peu touffus. Nous nous éloignâmes de la maison par la route en longeant le cours d’eau dans l’espoir de trouver un coin tranquille pour baiser. Il sembla vite évident qu’il n’y aurait pas d’endroit assez touffu pour nous cacher. Tant pis, nous étions assez éloignés de la maison et il n’y avait guère de circulation sur cette route peu fréquentée, aussi nous nous décidâmes de nous engager dans les bois. Nous nous éloignâmes le plus possible de la route. L’endroit était peu caché, pas de buissons, les ...
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