1. Mer Rouge


    Datte: 14/05/2020, Catégories: fh, fhhh, inconnu, vacances, plage, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, double, jeu, fouetfesse,

    ... plaisir, autant que pour le sien, ma chérie s’est mise à chevaucher son étalon, agitant juste sous mon nez ses fesses rougissantes et bondissant avec l’enthousiasme d’une cavalière de jumping sur la queue de son partenaire. Lorsque Louis est venu se placer à mes côtés pour tremper ses doigts dans la rivière de liqueur qui s’écoulait de la chatte de Ruby et pour ensuite les promener sur la rondelle timide de son petit trou, j’ai compris ce que les deux hommes s’apprêtaient à faire. Ruby aussi d’ailleurs qui entre deux râles d’extase, a laissé échapper un « Nooonnn… » rapidement étouffé par un baiser de Jacques sur ses lèvres entrouvertes. La sodomie est une pratique qu’elle n’appréciait que très modérément, pour ne pas dire pas du tout. Et les rares fois où elle avait consenti à m’ouvrir la porte de son petit trou, j’avais dû déployer des ruses de sioux. Mais ce soir-là, elle n’avait pas vraiment eu le choix. Et lorsque la gland de Louis a forcé l’entrée de son petit paradis, que sa queue s’est glissée tout entière dans l’étroit conduit de ses entrailles, coulissant le long de celle de son ami profondément enchâssée dans son con, ma tendre et douce a laissé échapper un long gémissement de plaisir. Coincé entre ceux de ses deux partenaires, le corps de Ruby ne lui appartenait plus, emporté par les irrésistibles vagues de jouissance provoquées par le va-et-vient de ces deux queues qui lui traversaient le cul et le con. Il ne me restait que sa bouche d’où s’échappait une ...
    ... longue mélopée de râles, de gémissements et d’exclamations extatiques. Et lorsque j’en ai approché ma queue, ses lèvres voraces l’ont engloutie en une fraction de seconde comme une murène dévorant une imprudente anguille. J’ai dû faire appel à toute mon énergie, penser à mon ignoble directeur et aux fesses rabougries de sa femme, pour parvenir à contrôler les trépidations de ma machine comme dirait B.B. Mais lorsque nos deux amis se sont retirés presqu’au même moment, et qu’après s’être débarrassés de leur préservatif, ils sont venus secouer leur tuyau d’arrosage au-dessus du visage et du torse de ma bien-aimée, j’ai compris que notre soirée arrivait à sa fin. Nous avons explosé tous les trois à quelques secondes d’intervalle, maculant sa peau brillante, inondant sa bouche, ses joues ses seins des gerbes de semence jaillissant de nos queues tremblantes de plaisir. C’était fini. Et tandis que nos amis se rhabillaient et que Ruby dégustait avec gourmandise le fruit de notre jouissance, je me suis glissé aux côtés de ma belle pour la serrer dans mes bras et partager avec elle les saveurs parfumées du plaisir. Cette nuit-là nous avons fait l’amour, revivant encore et encore nos aventures des deux derniers jours et lorsque nous nous sommes endormis les premières lueurs de l’aube filtraient à travers les rideaux de la chambre. À quinze heures le lendemain, nous étions dans l’avion qui nous ramenait en France. Nous n’avons plus jamais eu de nouvelles d’André ou de Louis et c’était bien ...