1. De Hervé à Vanessa, chienne soumise (19)


    Datte: 15/05/2020, Catégories: Transexuels

    ... tenant par les hanches vers la plage avant. Sur le trajet, on rigole, on rit à gorge déployée. L’éclairage y est subtil. Je reste debout. emrrov Elles se pendent à mon cou et c’est parti pour une sarabande sexuelle effrénée. Malika joue avec mes couilles, Théna avec ma bite. Elles ont, toutes deux, passé une main sur mes fesses. La jouissance est instantanée. Je ne peux que ressentir une boule de feu remontant de mon ventre, de mon anus le long de ma colonne vertébrale. La plénitude à l’état pur. Ces deux salopes veulent me faire jouir à leur façon. Je ne peux m’exprimer. Je suis un pantin entre leur main. Je lève une jambe en me penchant en avant. Je suis leur chose. Les papillons arrivent. Je ne vois plus mes douces tourmenteuses. Elles m’embrassent tour à tour. Quand une langue n’est pas dans ma bouche, l’autre me lèche le cou. Mes jambes flageolent, je titube. — HAN... HAN... HAN... OUI... HUM... HUM... C’EST SI BONNNN... OUIIIIIII... Elles ne s’arrêtent pas à ma première jouissance, elles ne me laissent aucun répit. Elles me font mettre à quatre pattes. Malika fait tournoyer sa langue autour de mon petit trou. Théna s’est mise en 69 et me lèche l’intégralité de ma hampe, partant de mes couilles et descendant jusqu’à mon gland. Je n’arrive pas à éjaculer, non je ne veux pas leur lâcher mon sperme ainsi. L’extase est totale. En d’autres temps, j’aurai lâché la purée depuis longtemps. Je me surprends à gémir comme les filles que je baisais du temps où je n’étais pas ...
    ... Vanessa. Enfin un temps mort, mais pas pour longtemps. Elles me font mettre sur le dos et Malika vient me chevaucher. Elle a les yeux révulsés. — Putain qu’elle est grosse... Han... Hummm... Théna se masturbe en attendant son tour. Elle paluche sa tante en me caressant les seins. J’en peux plus. Je vais décharger, je viens. C’est dans un cri, un hurlement indescriptible que j’inonde la matrice de ma belle Noire. Essoufflée, elle reste un moment sans bouger. Puis tel un cavalier descendant de sa monture, elle descend de son étalon. Elle récupère le trop-plein qui se trouve sur ma bite et mes couilles, Théna lèche l’excédent expulsé par Malika. À bout de souffle, je reprends peu à peu mes esprits. C’est pour voir Théna monter son fidèle (pas tant que ça) destrier. Elle me chevauche en m’agaçant les tétons. La tête de Malika a disparu entre mes cuisses et au contact de sa langue, je repars dans une jouissance sans nom. Me revoilà rempli de spasmes, de contractures. Ma bite gonfle mais ne lâche rien. Malika réapparaît et me sourit, d’un sourire carnassier. Son doigt me pénètre jusqu’à la prostate. C’est un déluge de feu qui remonte ma colonne de chair, j’expulse ma jouissance par des jets surpuissants... Théna, silencieuse, s’affale sur moi et vient me mordre le cou. L’Africaine vient nous rejoindre et c’est un balai à trois langues que se termine notre joute amoureuse. Les sons que nous émettons sont semblables à ceux des coureurs de fond après un cinq mille mètres. On reprend nos ...