Monique
Datte: 15/05/2020,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
grosseins,
groscul,
entreseins,
facial,
Oral
fsodo,
totalsexe,
portrait,
Pour gagner ma vie, je suis serveur. Pendant très longtemps je n’ai pas eu de place fixe mais j’ai travaillé comme saisonnier et ça m’a valu quelques histoires croquignolettes que je m’en vais vous narrer. À l’époque de celle-ci j’avais vingt-cinq ans et venais pour la première fois dans les montagnes, une station fréquentée mais pas trop mode. J’étais célibataire et n’avais pas l’intention de m’ennuyer. Je prends place dans le studio fourni par l’hôtel-restaurant où je vais travailler pour six mois et je fais un peu le tour de la station. Je repère une charcutière toute gironde et toute émoustillée et me dis qu’il y a quelque chose à gratter par là. Allez savoir, des fois, on a des intuitions. Je ne compte pas les fois où ça ne m’a rien apporté, mais me voilà parti pour une entreprise de séduction que j’ai l’intention de mener tambour battant ! Il me semble ne pas la laisser indifférente et me voilà, au fil des jours, de plus en plus entreprenant : bavardages, yeux doux. Son aimable charcutier de mari ne semble rien remarquer, tout à son travail qu’il est. Il faut dire qu’il ne chôme pas. Il n’y a pas beaucoup de commerces et ça défile pas mal. Je travaille dans un restaurant un tout petit peu plus loin et viens donc pour mon travail, et pour moi. Petit à petit j’apprends des détails très intéressants, sans arriver à savoir si ma Monique préférée du moment me les dit intentionnellement ou pas, et voilà enfin la précision plutôt chuchotée qui va tout faire basculer : — En ...
... début d’après-midi, mon mari fait la sieste, le magasin est fermé mais je suis derrière à faire la vaisselle. Moi je ne fais pas forcément la sieste, par contre je suis en repos pour deux heures à mon travail. L’après-midi même, à quatorze heures trente pétantes, après une bonne douche, me voilà qui toque à la porte arrière de la boutique. Effectivement une Monique habillée d’un grand tablier blanc m’ouvre, l’air, me semble-t-il, faussement étonnée. Je m’installe derrière elle, un peu sur le côté, nous discutons de je ne sais quoi, et je n’ai d’yeux que pour ses fesses et ses seins qui remuent au rythme de ses frottements des objets qu’elle attrape un par un dans une quantité impressionnante de vaisselle, plonge dans un bac bien profond et ressort pour les plonger dans un bac adjacent. Il fait une chaleur incroyable et il règne une vapeur épaisse. Sous son tablier elle a une petite robe bleu marine assez courte, qui laisse voir deux jambes fortes mais belles, très blanches, et en haut deux ou trois boutons ouverts, qui laissent supposer deux seins aphrodisiaques… Je ne résiste pas longtemps à ce spectacle et sans crier gare je m’avance et plaque deux mains autoritaires sur ses fesses. La phrase se coupe d’un seul coup mais pas un mot de réprobation ! Je commence donc à malaxer ce fessier qui m’a presque fait loucher quelques secondes plus tôt, et qui est responsable d’une érection très agréable. Il est vrai que ce fessier à la fois ferme et souple, opulent, accueillant, partage ...