La tente à cul
Datte: 16/05/2020,
Catégories:
ffh,
couple,
inconnu,
vacances,
collection,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
69,
préservati,
double,
fsodo,
Partouze / Groupe
piquepince,
conte,
... presque comme un mec, sachant par expérience qu’elle aime particulièrement que je lui suce sa « petite bite » comme elle l’appelle, je m’activais avec la langue et les lèvres, un peu comme une femme pendant une fellation. Le goût un peu âcre mélangé au sel de la sueur qui lui ruisselait entre les fesses était vraiment un nectar dont je ne me lassais pas, léchant, aspirant, en demandant toujours plus. De temps en temps elle se cambrait un peu et mon nez entrait dans son vagin, se cambrant plus elle offrait son anus à ma langue avide qui se faisait dure et inquisitrice pour forcer cet œillet serré. Pendant que je m’occupais de Katia, j’entendais toujours le léger bourdonnement du gode et des bruits d’objets entrechoqués qui attisaient ma curiosité. J’eus très rapidement une explication à ces bruits : Gréta avait été compléter son équipement dans la caverne d’Ali Baba. En effet, le premier gode toujours vibrant dans son vagin avait été rejoint par une ceinture de cuir à laquelle étaient attachées les lanières, mais le plus spectaculaire dans l’harnachement de la jeune Allemande était sans conteste l’énorme sexe de vingt centimètres légèrement recourbé qui était fixé sur son pubis. Ainsi équipée, notre amie aurait fait passer nombre de porn-star mâles pour des enfants de cœur, surtout après la démonstration quelle nous fit de sa maîtrise de l’engin. Mais n’anticipons pas, à ce point du récit, j’étais dans l’incapacité de vous faire cette description, la tête entre les cuisses ...
... de Katia, suant sang et eau pour ne pas jouir tandis qu’elle ne s’en privait pas en m’abreuvant jusqu’à plus soif de son nectar secret. J’eus donc la surprise de découvrir cet énorme appendice quand Gréta, qui était venue s’agenouiller derrière mon amie, vint présenter un gland dont je n’aurais pas fait le tour avec la main à deux millimètres de mon nez. Poussant tout doucement, elle écarta les lèvres qui semblèrent épouser la forme du gode, l’aspirer. Le vagin résista un peu, protestant contre la taille inhabituelle du membre qui prétendait entrer, mais finit par céder aux mouvements conjugués des bassins de Katia et de Gréta. Quand enfin il céda, d’un seul coup, Katia étouffa un cri. De plaisir ? De surprise ? De douleur ? Je ne sais pas, mais ce qui est certain c’est que quand Gréta commença ses allers et retours dans son ventre, les gémissements de mon amie et ses exhortations à se faire baiser plus fort et plus loin ne manifestaient plus aucune douleur, mais un plaisir violent. De mon poste d’observation, je ne manquais rien de cette pénétration contre nature, impressionné de voir défiler devant mes yeux une telle longueur de bite qui allait et venait maintenant librement et ressortait de plus en plus couverte de cyprine. Quand enfin le pubis de Gréta claqua pour la première fois sur les fesses de Katia, cette dernière poussa une sorte de grognement sourd tout en s’accrochant à mon sexe et en balayant mon ventre de ses seins, prise de spasmes désordonnés. Profitant de la ...