1. La Saga de Sara P. 01


    Datte: 17/05/2020, Catégories: Lesbienne

    ... toujours pas, et continua à fixer pathétiquement les yeux noirs perçants de son amie : « Tu ne vois pas? C'est encore plus grave. Car cela signifie que tes actes de fille gâtée te sont si naturels que tu les commets sans y penser. Aujourd'hui, après notre partie de tennis. Qui a ramassé les balles? » « Toi, » répondit la fille d'une voix faible, réalisant enfin son forfait. « Et ça ne t'as pas traversé l'esprit que, ayant été partenaires de jeu, il nous appartenait à toutes les deux de partager les tâches afférentes à notre activité? Peut-être crois-tu que parce que tu m'as avancée la somme pour payer mon abonnement au club - que je compte, par ailleurs, te rembourser au dernier centime - je devrais t'en être si reconnaissante au point de me comporter comme ta servante? » « Non Sara. Ça ne m'a jamais traversé l'esprit. Je suis désolée Sara. » Répondit la fille d'un ton implorant. « Tu vas l'être, en effet, dans quelques instants. Ou plutôt, c'est ton joli cul qui va l'être. » Répondit Sara, se dégageant de la fille et s'asseyant complétement sur le lit, les pieds au sol. La fille savait instinctivement ce qui lui était demandé. Il s'agissait d'une presque routine qu'elle devait subir à chaque fois que Sara détectait une déviation dans son comportement ou une désobéissance à ses ordres. Elle se traîna sans plainte à quatre pattes sur le lit, et se mis à plat ventre sur les jambes de Sara, les seins pendants, son postérieur ferme et bombé offert aux mains de celle-ci. Sara lui ...
    ... massa d'abord délicatement les fesses, puis lui appliqua dix fessées fermes et rapides, sans être particulièrement douloureuses, auxquelles la fille sursautait à chaque fois avec un petit cri de douleur. Le temps où la fille pleurait à chaudes larmes et suppliait Sara d'arrêter lorsque celle-ci la fessait était révolu. Maintenant, endurcie, elle subissait ses punitions avec un admirable courage. La fessée, terminée, Sara lui massa encore une fois délicatement les fesses, faisant refroidir la chair maintenant rose et brulante, puis passa deux doigts sur la chattes de la fille qui secrétait si abondamment que Sara pouvait sentir ses propres cuisses toutes mouillées. Elle continua à lui masser la chatte pendant un moment, puis, lui ouvrant délicatement les fesses, posa ses deux doigts mouillés contre l'anus de la fille. Ce n'était pas la première fois que Sara prenait l'orifice tabou de la fille. Celle-ci étant encore vierge, Sara ne voulait pas avoir sur la conscience la responsabilité de la déflorer, connaissant les répercussions sociales que cela pourrait avoir dans un pays conservateur comme le Maroc et lui laissant décider quand, comment et avec qui le faire ; même si la fille l'implora à plusieurs reprises de le faire. Sara, quant à elle, n'avait pas ce problème ; car, décidée à ne jamais se marier, elle avait elle-même déchiré son hymen avec ses propres doigts. Elle pouvait donc jouir des doigts de la fille dans son vagin, mais ne pouvait réciproquer, portant son dévolu ...
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