1. Caliente


    Datte: 17/05/2020, Catégories: hhh, inconnu, sauna, hsoumis, odeurs, Oral hdanus, hsodo, Partouze / Groupe uro, scato, totalsexe,

    ... forte et il éjacule à grands jets qui se perdent sur le sol du hammam. À peine a-t-il fini qu’il se reprend et sans un mot, sort du hammam. J’attends un peu puis sors à mon tour la tête embuée autant par la chaleur que par l’excitation. Une douche rapide pour me débarrasser de ma sueur et me calmer un peu et je continue ma visite avec un petit tour au sauna. Cette petite pièce lambrissée comporte deux banquettes sur deux étages. L’ambiance y est aussi tamisée que dans les autres endroits. À travers la vitre de la porte, je distingue la forme d’un homme allongé, sur le gradin le plus haut. J’entre et me place au bout du banc. Je regarde l’homme étendu là. Il est couché sur le dos, les jambes légèrement écartées entre lesquelles pendent ses attributs couronnés d’une petite touffe de poils visiblement travaillée. À mon entrée, il se retourne sur lui-même et se met sur le ventre, écartant largement les cuisses, élevant légèrement le bassin afin de me présenter ses fesses ouvertes sur un anus épilé. Par jeu, je souffle l’air chaud du sauna sur et entre ses fesses, ce qui a pour effet de le faire soulever un peu plus son bassin, m’invitant de façon encore plus impudique à préciser mes caresses. Mais, quoiqu’encore très excité par mon passage au hammam, mon désir est autre. Bien qu’il m’arrive aussi d’être actif, j’ai surtout envie d’être l’objet d’un homme, et ce n’est pas avec celui-là que je serais comblé. Je sors donc du sauna et me rends à l’étage. Celui-ci est constitué ...
    ... d’une salle vidéo garnie de quelques fauteuils et de tapis de sol, elle est ouverte par plusieurs portes qui mènent vers les coins câlins et vers le labyrinthe. La salle vidéo est occupée par un type plutôt grand, avachi dans un fauteuil, il se masturbe doucement, comme sans y faire attention en regardant sur l’écran de jeunes militaires se donner mutuellement du plaisir. Je reste un peu, sans m’asseoir, juste pour voir si je l’intéresse. Rien, il reste perdu dans ses rêves, hypnotisé par les bidasses sur l’écran. Des craquements de plancher me laissent penser que d’autres gars tournent dans le labyrinthe. Je laisse la salle vidéo, et m’y rends. Ce lieu est en fait un couloir garni de panneaux qui font quelques chicanes. Par endroits, il s’ouvre vers diverses pièces garnies ou non de couchettes, de glory-holes, et même de carrelage et de douche pour une d’entre elles. L’éclairage y est réduit à la limite de pouvoir distinguer ce qui s’y passe. C’est bien sûr l’endroit le plus « chaud » du club. Je passe ma serviette autour du cou afin de faciliter les contacts, et m’engage dans le dédale, impatient de participer aux ébats qui se déroulent sûrement dans l’endroit. Les premiers pas se font à tâtons tellement la lumière est faible. Rapidement, je sens la chaleur d’un corps, une main parcourir mes fesses, les laisser pour me prendre le sexe, puis plus rien. Je continue ma progression en aveugle, je croise un type que je parcours à mon tour des mains, un corps velu, un peu corpulent, ...