La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 679)
Datte: 17/05/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... des souliers vernis aux pieds. Visiblement, le Maître cherchait à le rassurer, il discutait chaleureusement avec lui, lui posant parfois une main sur l’épaule… Monsieur Walter arrivait essoufflé. La première chose qu’il fit, ce fut d’attraper les deux esclaves par leur collier et les obliger par une poigne de fer à se mettre tous les deux en levrette… - Les bonnes manières perdurent dans cette illustre et bien perverse Demeure ! Plaisantait Madame Lucie en voyant agir Monsieur le Majordome. - Toujours Madame Lucie ! lui répondit-il respectueusement, puis il reprit en tutoyant cette fois-ci… Te voilà de retour de Shanghai ma belle… T’installes-tu définitivement ici ? - Oh non, mon bon vieux Walter, je suis ici seulement pour quelques jours de vacances… La maison Louis Vuitton à Shanghai a besoin de sa Directrice des Ressources Humaines…. Je suis venu ici simplement pour voir maman et Papounet et leur présenter mon amoureux, mon beau Julien ! Mais je suis très heureuse de te revoir, Walter ! Lucie attrapait la main de Julien et la lui embrassait… Julien avançait vers le Majordome - Bonjour Monsieur ! lui dit-il avec un air très respectueux - Bonjour Julien, pas de Monsieur entre nous, appelez-moi simplement Walter ! Les deux esclaves toujours prosternés au sol ne comprenaient rien à la situation… et pour cause ! Lucie n’était autre que la fille illégitime née de l’union de Monsieur le Marquis d’Evans avec Marie la Cuisinière quand celle-ci avait été déflorée à l'âge de 18 ans ...
... par le Noble dans le foin de la grange du Château. Monsieur le Marquis de l’époque, le père du Maître avait appris la liaison de son fils avec cette jeune femme du village somme toute mignonne, mais sans titre de noblesse… A l’époque, au début, il avait bien râlé, rouspété, maugréé, sermonné sur cette liaison amoureuse. Mais toutefois après plusieurs mois où les deux jeunes amoureux ne cachaient pas leur amour réciproque, le père du Maître avait fini par l’accepter et même engager Marie, comme cuisinière au Château sur la demande insistante de son fils et bien sûr pour sauver les apparences quand il apprit qu’elle était enceinte de son fils. Lucie avait donc grandi en cette Noble demeure et avait été élevée par sa mère mais elle n'avait jamais porté le nom des Evans car le père du Maître en était farouchement opposé. Il avait juste accepté qu'elle puisse vivre au Château mais qu’en aucun cas, qu’elle puisse être reconnue comme héritière. C’était d’ailleurs l’unique condition qu’il avait exigé pour accepter de l’engager comme cuisinière et qu’elle puisse élever Lucie au Château. Cette condition avait été exposée clairement à Madame Marie lors de la naissance de Lucie. Elle avait pu ainsi élever sa fille ici, au Château, à l’abri de tout besoin matériel et Lucie fut chérie, aimée et eut une enfance très heureuse. Lucie n’avait jamais manqué de rien et elle avait pu par la suite faire de hautes études. Pour l'Etat Civil Madame Marie avait eu droit au titre officiel de fille-mère ...