1. Ma femme enfin adultère


    Datte: 26/06/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... dans un coin et Eric à 4 ou 5 mètres sur une autre table. Il regarde les cuisses de Sarah que je devine ouvertes, même si de mon angle de vue je ne peux pas voir son entre jambes. Les dés sont jetés. J’ai à peine rejoint Sarah qu’elle me fait signe qu’Éric nous demande de venir le voir. - Les règles des quatre prochains jours sont les suivantes. Pour toi Stéphane, tu dois savoir que Sarah est comme ma femme pour cette durée. Tu ne la touches plus sans mon autorisation expresse, tu ne la baiseras pas et tu assisteras à sa dépravation selon mon bon vouloir. Est-ce clair ? - Oui Monsieur. - Je vois qu’il n’est pas utile de t’expliquer les règles concernant la façon de t’adresser à moi. Sarah, je veux que tu m’obéisses pendant ces quatre jours, pendant lesquels je vais te baiser et peut-être t’offrir à d’autres. Lorsque nous sommes dans un jeu sexuel, tu me vouvoies et m’appelle Monsieur. En dehors des jeux sexuels, tu peux me tutoyer, m’appeler mon chéri devant ton mari. J’exige une obéissance sans faille. Cela te convient-il ? - Oui Monsieur, cela me convient. - Très bien. Alors suivez-moi dans mon bungalow. Nous quittons la vaste salle à manger, et à peine sortis, Eric enlace Sarah et l’embrasse très profondément, sa main gauche venant soulever la jupe et triturer ses fesses. Il arrête de lui rouler une pelle et lui sourit. Elle lui sourit en retour. Elle est soumise, je le sens. Je suis spectateur et à nouveau je bande. Nous nous éloignons, la main gauche d’Éric reste sous la ...
    ... jupe, la soulevant légèrement. Les bungalows sont relativement éloignés les uns des autres, et après 2 minutes de marches, alors que nous sommes dans une zone moins passante, et seuls à cet instant, Eric décrète qu’il ne doit pas être le seul à se délecter du spectacle des fesses de Sarah et lui enjoint de retirer la jupe. Ma femme, la sienne plutôt, hésite un instant, regarde autour d’elle puis s’exécute. Je les suis à distance pendant les quelques minutes qui nous séparent encore du bungalow d’Éric, et qui me semblent une éternité. Nous croisons deux jeunes hommes, 25 ans à peine, qui se retournent au moment de croiser Sarah. Au moment où je passe devant eux, je les entends parler sans discrétion - Salaud de vieux, avec une salope qui se balade en string devant tout le monde, il ne doit pas s’emmerder. - En même temps, un cul pareil, avoue que tu aimerais y tremper ta queue… Je ne saisis pas la suite, mais ils ne lâchent pas Sarah du regard jusqu’au moment où elle pénètre dans le bungalow de son futur amant, suivi de son futur cocu. Ça a dû leur clouer le bec lorsqu’ils ont compris que je les avais entendus ! Nous entrons dans le bungalow, plus vaste que le nôtre, avec un mobilier qui se veut local, articulé autour d’un vaste lit. La grande porte vitrée donne sur la mer, elle est heureusement cachée des regards extérieurs par un voile. Eric prend de suite la direction des opérations - Toi le cocu, à poil. Et toi ma petite catin exhibitionniste, retire ton tee-shirt. Ça t’a ...