Souvenirs d'une coquine : le trio
Datte: 17/05/2020,
Catégories:
fhh,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
préservati,
jouet,
fdanus,
fsodo,
... caresser les fesses, et a rapidement trouvé le chemin de ma chatte. Je mouillais comme rarement. J’étais très excitée et appréciais ces deux queues et ces quatre mains pour moi toute seule. Mon collègue se leva du canapé, me fit mettre à quatre pattes et plongea sa tête entre mes fesses. Il me lécha la fente et goûta à mon nectar. Dieu, que c’était bon ! Pendant ce temps, l’autre collègue s’occupait de ma poitrine qu’il massait, et dont il pinçait alternativement les mamelons, puis les tétons. J’appréciais ce traitement de choc, et fus rapidement traversée par un premier orgasme. Pour reprendre mon souffle, je dus lâcher de ma bouche la belle queue que je suçais. Je profitai d’avoir la bouche vide pour demander à mon lécheur de moule de me prendre. Après avoir enfilé un préservatif, il vint placer son gland sur ma fente et fit entrer sa belle queue d’un coup sec dans mon vagin congestionné. Sa queue poussa encore plus les boules de geishas restées au fond de moi. Les boules s’entrechoquaient dans mon vagin et créaient une sorte de vibration unique à chaque aller et retour. Le tout me rendant extrêmement sensible de l’intérieur. Je repris la pipe pendant que je me faisais ramoner par les puissants coups de reins de mon collègue. J’appréciais beaucoup ce traitement et je voyais bien qu’eux aussi. Après une dizaine de minutes de succions, je pus enfin aspirer la semence de mon collègue que j’avalai goulûment, suivi de très près par le mâle qui me remplissait la moule. J’avais ...
... réussi à faire jouir mes deux collègues ! Si eux avaient joui et mettaient quelques minutes pour récupérer, ma chatte, elle, en réclamait encore ! Une fois que mes deux mâles eurent repris un début d’érection, je fis asseoir celui qui ne m’avait pas pénétrée. Je lui enfilai une capote et m’assis sur son manche en lui tournant le dos. C’est moi qui contrôlais ses va-et-vient. Vous vous en doutez certainement, je pris en bouche rapidement celui qui m’avait pistonnée quelques minutes avant. Je sentais les deux queues durcir en moi grâce à mes coups de langue et de reins. La sensation était des plus exquises. Les mains de mes compères se crispaient sur mon corps et mes seins ou me caressaient puissamment. Sous ces coups de boutoir que je contrôlais, ma chatte se fit limer comme rarement. Je pris beaucoup de plaisir ; je haletais et poussais de plus en plus de gémissements, pour finir par avoir un orgasme très puissant, contractant mon vagin et faisant jouir celui qui me ramonait. Épuisée et secouée par ce bel orgasme, je me couchai sur le côté. Une fois mon collègue retiré de ma chatte, je voulus faire jouir l’homme que je suçais et qui n’avait pas encore joui dans ma bouche. Il me mit sur le côté, toujours sur le canapé, et vint se présenter face à mes fesses. Je sentis d’abord des caresses, puis l’introduction d’un doigt dans mon cul. Ce contact réveilla mes ardeurs, et très vite je sentis son gland transpercer mon anus. Il m’enculait ! Il me prit brutalement et sauvagement ...