Lundi soir....
Datte: 19/05/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Chantal mon épouse (3) A peine sommes nous rentrés de chez nos amis et que nous nous sommes couchés et que j'ai harcelé mon épouse pour lui faire revivre ses deux dernières journées pour elle et mon plaisir et aussi pour ne pas faire baisser notre libido. Toutes ces situations, cette soumission et abandon totale de Chantal pour le plus grand plaisir sexuel de son patron, du sien (quoiqu'elle en dise) et avec mon consentement. A chaque fois j'ai pu jouir des différentes postures auquel elle s'est prêtée. Nous avons même évoqué de quoi pourrait être fait ses prochaines rencontres. Ce lundi, elle s'habilla comme elle avait l'habitude de le faire sans apporter une touche plus sexy à ses effets, sous vêtements blancs, collants couleur chair, robe bleu marine arrivant un peu au dessus de ses genoux et des chaussures à talons. Elle me quitta tout en me disant : à ce soir ! penses tu qu'il te retarde ? lui ai je demandé, je te téléphone si c'est le cas. En fin d'après midi, à peine rentré, le téléphone sonne, je décroche, - Peux tu récupérer F....., je suis retardée, - Où es tu ? - A Auchan, - je vais faire quelques emplettes, René ( son patron) m'a demandé si je pouvais repasser au bureau une fois les autres partis, - et tu penses rentrée vers quelle heure ? - j'en sais rien, il a envie de me voir ! - il a surtout envie de te baiser comme ces derniers jours, et toi ? - pour ne rien te cacher, je suis très contente qu'il m'ait demandé de repasser, j'en ai très envie, depuis ...
... Vendredi, je ne m'explique pas mais il me fascine ! - Ok à plus tard, sois prudente, j'ai hâte que tu rentres et que tu me racontes tout, Elle raccrocha puis rentra vers 21H30. Ce dont elle ne m'avait pas fait écho au téléphone, c'est que dans la journée il l'avait convoqué dans son bureau, elle s'était posté debout près de lui à l'abri des regards extérieurs. Tout en faisant semblant de lui expliquer je ne sais quoi, il avait profité de cette proximité, sa main avait glissé sous sa robe, remontant le long de ses cuisses, elle avait volontairement écartées ces dernières pour lui donner un accès plus aisé à son intimité, ce dont il ne s'était pas privé, regrettant au passage le port des collants ne l'autorisant pas à aller flatter son sexe humidifié par la caresse audacieuse. Sur son visage, il était facile de voir que les dernières heures qu'elle venait de passer l'avait plus que satisfaite. Debout près de moi, j'ai passé ma main sous sa robe, elle glissa sur la soie des bas dont elle venait de faire l'achat au supermarché avant de le rejoindre. Puis j'ai senti la douceur de sa peau nue avant de poursuivre et ressentir la moiteur de son entrejambe. Je lui en ai fait la remarque et elle me dit : tu vas être content de moi, tu n'as pas encore tout vue. Elle me lança le sac du supermarché, à l'intérieur s'y trouver ses sous-vêtements et son collant. Perplexe je m'interrogeais sur le morceau de tissus poisseux que j'avais tripoté quelques secondes plus tôt. Elle compris de suite mon ...