Cendrillon X (3)
Datte: 19/05/2020,
Catégories:
Lesbienne
... ma chère, on a dit au revoir à son papa chéri ? » L’esprit de Sophie s’embrouilla, la peur se le disputant à la douleur. « Mère, vous me faites mal. » Sophie se sentit retournée et croisa le regard de sa belle-mère, verte de jalousie. « Et ce n’est qu’un aperçu ! La vie va changer maintenant jeune fille. » La pauvre jeune fille se débattit. En vain. Sa marâtre la traina par les cheveux vers l’intérieur de leur demeure sous les rires et les cris de joies de Javotte et Anastasie. Une fois à l’abri des murs lambrissés, Sophie fut jetée au sol et la douleur cessa enfin. Le souffle court, elle redressa la tête et vit avec horreur ses deux belles-sœurs s’embrasser goulûment pendant que sa belle-mère retroussait ses jupes pour laisser apparaître un énorme godemichet attaché à une…ceinture. Une de celles de son père… La jeune fille poussa un cri et ramena ses jambes vers elle. « Sais-tu qui j’étais avant d’épouser son père ? - N… non ? - Une maquerelle. » La rapidité de la réponse et la satisfaction qui perçait dans la voix de sa belle-mère laissa Sophie bouche bée. « Eh oui jeune fille. J’ai connu ton père dans un bordel pendant un de ses voyages d’affaires. Le pauvre pleurait encore la perte de sa précédente épouse. Cela faisait des mois déjà, mais apparemment il y tenait à sa petite duchesse. » Sophie serra les poings de rage. « Oh, regardez-moi ça. On dirait que j’ai touché un point sensible. » Sa marâtre se rapprocha d’elle, caressant le gode. « Et sais-tu ce qui lui ...
... plaisait ? Sais-tu pourquoi il revenait toujours dans mon lit lors de chacun de ses voyages ? Non ? Eh bien…. » Elle se pencha et chuchota à l’oreille de Sophie. « C’est parce que je le faisaisbander bien plus que ta mère ma jolie. » Choquée, la jeune fille ne put répondre Elle sursauta lorsqu’elle entendit un cri. Javotte et Anastasie, jupes retroussées, se doigtaient devant elle. Et devant leur mère. « Sais-tu que Javotte et Anastasie sont les meilleures filles qu’une mère puisse avoir ? Enfin, regarde-les. Depuis toujours je les préservais dans mon bordel, leur laissant une chambre à elles, loin des turpitudes de ma vie de débauches, autrement pour sûr qu’on me les aurait enlevées… Et bien figure-toi que ce sont elles, un jour, qui ont appâté un de mes plus gros client. Il aimait les très jeunes filles. Elles sont restées avec lui jusqu’à l’aube et depuis lors il est revenu tous les soirs pour elles. Avec des amis. L’argent qu’elles m’ont rapporté m’a permis de soigner mes tenues, de m’éloigner des activités charnelles et de me consacrer à une autre grosse entreprise. Ton père. Je l’ai charmé. Je l’ai laissé me baiser de toutes les manières, puis je l’ai mis à mes genoux, me rendant de plus en plus indispensable. Et quand il a su que mes deux pauvres amours étaient vouées à une vie pire que la mienne si je ne trouvais pas un parti convenable, ça a été le déclencheur. Il m’a épousé. Et me voilà. Maîtresse de cette demeure… » Au départ déconcertée, Sophie avait senti la colère ...