1. Isabelle expérimente Maxence


    Datte: 19/05/2020, Catégories: f, fh, ff, Collègues / Travail Transexuels

    ... rafraichir un peu dans les toilettes. Tellement d’images érotiques sont passées dans mon esprit. Des jolies images de soumission je dois avouer. J’avais loué un film, «Surrender », où une femme sort avec une maitresse sadomasochiste. Dans ce film, l’amante voit sa maitresse "engoder" un soumis. Cette scène m’avait beaucoup plu. De plus cela fait longtemps que j’ai envie de m’acheter un gode-ceinture, c’est peut-être l’occasion. Je m’imagine alors le ligoter nu dans son bureau et déflorer son anus. Je me masturbe frénétiquement, je ne peux m’empêcher de pousser quelques cris. Heureusement aucune autre femme n’est présente dans les toilettes pour m’entendre gémir. La journée s’achève, j’ai hâte de rentrer à la maison. Je sens que cette nuit va être particulière. J’ai un compte à régler avec le patron de ma boite. De retour à la maison, je le vois sur le divan en train de jouer à la PS3. Je lui parle sèchement : — C’est quoi ce Laurent que tu as engagé ? Tu as vu son comportement ? Tu sais que j’ai horreur de ça.— On avait besoin d’une assistance juridique et je te rassure : dans ce domaine, ils sont tous comme ça.— Informe-moi quand tu prends des décisions de recrutement ; maintenant ne dis rien et fais à manger, j’ai faim. Il s’exécute docilement. Après un repas tendu où il n’ose lever les yeux vers moi je lui dis de m’attendre dans la chambre. Je reste dans le salon le temps qu’il s’impatiente puis je viens le rejoindre. Je le déshabille. Je lui demande alors de se ...
    ... placer à genoux sur le lit, les bras sur l’oreiller, le bassin tendu en arrière. Je me place derrière lui, je me colle à lui. J’attrape sa queue et le branle, En le serrant j’imagine que mon corps ne fait qu’un avec lui et que c’est moi-même que je branle. Puis soudainement tout en le masturbant je place deux doigts dans sons anus. Il pousse un petit cri. J’aurais dû me couper les ongles… Je veux lui faire comprendre ma contrariété, et lui faire comprendre qu’il n’est pas le seul à décider. Il n’est pas très joueur, il me demande de ralentir mes mouvements. — Doucement ou pas, tu vas te faire enculer, mon chéri. Changeant de doigts, je lui inflige alors quelques va-et-vient avec mon majeur et recourbe celui-ci, appuyant la pulpe en direction de sa prostate. Cette caresse lui fait l’effet d’une contraction proche de l’éjaculation, mais il reste pourtant en érection. Je sors un instant mes doigts, et reviens mieux armée, de trois doigts maintenant. Il s’élargit du mieux qu’il peut, pour avoir moins mal tout en poussant de tous ses muscles comme s’il cherchait à expulser ma main. Mais mes doigts sont les plus forts, ils vont et viennent dans son rectum, repoussant toute résistance. À chaque mouvement il pousse de petits cris, je m’amuse à changer de rythme. Un instant je m’arrête, il me demande de continuer. Ce que j’aimerais avoir des doigts plus longs ! Je m’arrête donc, il bande comme jamais. Il a envie de moi mais non, nous ne ferons pas l’amour ce soir. Mais je vais le faire ...
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