1. Job d'été, jeu d'été (5)


    Datte: 20/05/2020, Catégories: Hétéro

    J’ai bien pris mon pied. Maintenant que notre partie de jambes en l’air est terminée, je me sens prise d’un coup de fatigue. Je m’allonge au sol, sur le dos, les bras en croix. Didier me caresse les bras, les seins, doucement et me demande si ça va. Je souris et lui réponds que oui. Après quelques minutes de repos, je me lève et me mets à la recherche de mes vêtements. Il me demande si je ne veux pas rester plus longtemps. La proposition est tentante, mais mon copain sera bientôt disponible pour un appel, je veux en profiter. Je décide de rentrer. Arrivée, j’ai à peine le temps de retirer mes chaussures que je reçois l’appel espéré. Presque immédiatement, je raconte à mon chéri que je suis passé - à la vitesse supérieure » aujourd’hui. Il me répond : - Eh bien, ma petite chérie, on dirait que tu t’es amusée. Ça me fait plaisir. » Je lui dis que je suis vraiment contente que l’opportunité se soit présentée et il ajoute : - Mais tu réalises, quand même, qu’il a pris une après-midi de congé juste dans l’ESPOIR de coucher avec toi ? Il était motivé... » Ah, non, je n’avais pas réalisé. Bien vu. Je lui raconte en détail ce qu’il s’est passé. Nous sommes tous les deux très excités... À défaut d’être l’un avec l’autre physiquement, nous nous touchons, au téléphone. Il me raconte une vidéo porno qu’il a vue le matin même, le gang bang soft d’une jolie brune. Nous prenons beaucoup de plaisir à avoir cette conversation, mais les rapports physiques nous manquent et nous avons hâte de ...
    ... nous retrouver. Le lundi, je suis pleine d’appréhension et j’ai le rose aux joues en arrivant au garage. Je suis arrivée un peu en retard et le réfectoire est plein de monde. Impossible de le nettoyer. Je fais les autres pièces et y revient à la fin. Quatre hommes, dont Didier et David, y sont encore alors je m’excuse de les avoir coupés dans leur conversation en entrant dans la pièce et leur indique que je repasserai plus tard. Alors que je m’apprête à fermer la porte derrière moi, David m’interpelle : — Capucine, attends ! — Oui ? — Vu que tu as perdu mon numéro de téléphone, il faut que je te le redonne. Un rire m’échappe ainsi qu’un - Pardon ? ». Il reprend : — Je t’ai donné mon numéro il y a quelques jours et tu ne m’as pas appelé ; j’en déduis que tu l’as perdu. N’est-ce pas ? Je ris de nouveau, mais ne réponds pas. Il sort de sa poche un papier sur lequel il a inscrit son numéro et me le tend en me disant : - Appelle-moi. ». Je le prends et, en souriant malicieusement, lui répond sur le ton de l’humour : - Mais bien sûr. » Il incline la tête à la façon d’un gentleman et j’esquisse une discrète révérence moqueuse. Je dis au revoir à ses collègues - amusés - et m’en vais. Le lendemain, Didier est sur le parking à mon arrivée. Je le salue de loin, il se dirige vers moi. — ça va ?, me demande-t-il. — ça va ! Et toi ? — ça va, ça va. Dis... tu vas appeler David ? Je lui réponds sincèrement que je ne sais pas, mais qu’il y a des chances que oui. Je lui signale également que je ...
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