1. E M P O R I U M


    Datte: 20/05/2020, Catégories: fhh, inconnu, boitenuit, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral fsodo, init,

    ... bouche avant de descendre le long de son cou, jusqu’à la naissance de ses seins, puis de remonter lui mordiller le lobe de l’oreille. Ses mains s’étaient faites voraces. À travers le tissu, Manon les sentait sur ses cuisses, sur son ventre, ses seins. Elle se laissait faire en souriant aux anges, c’était bon d’être caressée, tant pis pour la bienséance. Lorsqu’il entreprit de déboutonner son chemisier, un éclair de panique la parcourut. Elle se redressa brusquement sur la banquette, portant la main à son cou comme pour se reboutonner. Thomas la retint assise et la rassura d’une voix calme. — Attends, tu vas voir, ça va être super. Elle croisa son regard, jeta un œil rapide aux couples affairés à forniquer qui ne leur prêtaient aucune attention, et abandonna. Merde, elle sentait dans son ventre un véritable incendie, c’était l’occasion de l’éteindre. Elle reposa ses mains sur le canapé et ferma les yeux. Les boutons du chemisier cédèrent un à un. Dans son dos, une main experte dégrafa son soutien-gorge au premier essai, puis libéra ses seins. Elle prit la tête de Thomas à deux mains et la colla contre son visage pour l’embrasser. Dans sa poitrine son cœur s’affolait alors qu’une vague de chaleur la submergeait. Sa conscience était à la dérive, elle voulait juste du cul, là, maintenant, tout de suite. Se saisissant de la main de Thomas, elle la colla entre ses cuisses pour qu’à travers le tissu il sente son envie. Il réagit tout de suite, ses doigts s’emparant des boutons du ...
    ... pantalon pour les défaire fébrilement. Un, deux, trois, quatre, tous avaient cédé et les doigts assaillaient la ceinture défaite, se glissaient sous l’élastique de la culotte. Ils se précipitaient à travers les poils, sans considération, sans délicatesse, sans préparation. Ils assaillirent la fente, la pénétrant pour en éprouver l’humidité, l’écartant pour la préparer, amorçant un va-et-vient entre l’humidité profonde et le petit bouton gonflé en surface. Elle avait le souffle court, les yeux fermés, et ne pouvait retenir ses gémissements quand il caressait son clitoris. Il n’était plus question de pudeur, de retenue, de convenance maintenant, mais juste de jouissance. Elle sentait son sexe mouillé comme il ne l’avait jamais été, et elle voulait une conclusion à la hauteur de ces prémisses. Elle stoppa Thomas dans ses caresses, fit glisser le pantalon qu’elle avait toujours sur les jambes, et avec une autorité dont elle ne se serait pas cru capable, lui ordonna : — Lèche-moi !— Avec plaisir, ma reine, répondit-il avec un air narquois. La seconde d’après, elle sentait une langue se promener entre ses lèvres, remplaçant les doigts qui y jouaient un instant plus tôt. Elle remonta ses genoux contre sa poitrine. D’un mouvement sec Thomas l’attira un peu plus près du bord de la banquette. Elle était à demi nue entourée d’inconnus. L’un d’eux lui léchait la chatte. Et les choses s’accéléraient… Elle était presque couchée sur cette banquette maintenant, le cul près de la bordure, les ...
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