Blandine et les loups (15)
Datte: 30/09/2017,
Catégories:
Trash,
Lioubovson ne revint qu’à minuit et demi. Après avoir salué son père qui partait rejoindre une amie, il descendit rapidement dans le gymnase. Il s’arrêta net devant le tableau qui s’offrait à lui : plusieurs de ses hommes dormaient nus à même le sol, et Blandine, à genoux sur un tapis de gym, se faisait fister par Joe. Accroupi derrière elle, il enfonçait en cadence son poing fermé dans l’anus de la jeune fille. Quand il le sortait, l’anus restait béant, d’une obscénité inouïe ; puis le poing revenait, rencontrant une résistance symbolique comme les sphincters cédaient. Et Joe faisait pénétrer son bras quasiment jusqu’au coude. Liou fut frappé par le visage extatique de Blandine alors qu’elle était l’objet d’une pénétration si profonde. Les yeux clos, les narines pincées, ses lèvres gonflées laissaient échapper de petits râles de plaisir pur. Joe aperçut son patron et parut soulagé. Il retira aussi délicatement que possible son bras luisant de lubrifiant et de sécrétions diverses du ventre de la blondinette. — Bonjour, chef. — Bonjour, Joe. Tu es seul ? — Comme vous voyez. Pourtant nous étions vingt-sept, au début. Mais personne n’a pu tenir. Blandine était complètement déchaînée, elle n’a eu de cesse de nous vider et de boire notre sperme, nous suppliant même d’agir comme des brutes. J’ai dû intervenir pour expliquer que la pauvre avait absorbé des substances à l’insu de son plein gré... — Tu as bien fait. Allez, tu peux partir, je prends le relais. Merci, et bonne nuit. — ...
... Bonne nuit, chef. Joe sorti, Liou s’agenouilla devant Blandine qui lui adressa un regard énamouré. Elle frotta sa joue contre le dos de sa main, s’assit pour appuyer son flanc contre lui et murmura d’une voix cassée : — Tu m’as manqué, tu sais... — Je sais. Je te prie de m’excuser de t’avoir infligée tout cela. — Ce n’est pas grave. Je t’aime. Il ne put répondre, submergé par l’émotion. — Tu ne me connais pas, tu m’as rencontré pour la première fois il y a une douzaine d’heures. — C’est vrai. Mais ça n’enlève rien à la profondeur de mes sentiments. — Tu crois au coup de foudre ? — Pas toi ? J’ai l’impression de t’avoir toujours attendu. Quand je t’ai vu je n’ai pas eu peur, j’ai su que je t’appartenais. Comme ça, en un dixième de seconde. — Je ne suis même pas humain, ma petite. — À moitié, et ça me suffit largement. Et l’autre moitié me plaît bien. Ta fourrure soyeuse, ta verge diabolique... Tu m’aides ? Je voudrais prendre une bonne douche, ou un bain moussant si c’est possible. Puis dormir dans tes bras. — Pour le bain, je crois que tu dormiras avant que la baignoire soit pleine. Sauf si... Si je te tiens éveillée. — Tu as envie ? — Oui, si tu me le demandes clairement. — Alors prends-moi, encule ta petite salope... Tu vois, je commence à avoir du vocabulaire. Liou se leva et jeta ses vêtements en vrac les uns après les autres ; Blandine dut se pencher en arrière et lever les yeux tellement il était grand : elle n’arrivait même pas à son torse. Il la souleva et elle noua ...