1. Mes études de langues (1)


    Datte: 20/05/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Mes études de langues (1) Sa langue léchait mes rondeurs à m’en rendre folle. Mes pointes étaient tendues et chaque aspiration de sa bouche accélérait mon pouls. Je saisis sa tête pour le guider sur ma poitrine. Mon bas-ventre me démangeait et a son humidité commençait à couler et gouter sur le matelas. Lorsque mon réveil sonna, je me réveillai, nue, la main entre les jambes, toute transpirante. C’est chaque mois comme ça, quelques jours avant mes règles mes rêves deviennent intenses. J’étais encore toute chaude lorsque je pris ma douche. J’optai pour une douche froide qui ne réussit qu’à me faire prendre conscience qu’une longue journée de cours s’annonçait et que j’avais d’autres envies que d’aller à l’université. L’eau froide qui s’écoulait sur mon corps me durcit les boutons encore engourdis par l’excitation de mon rêve. Cette journée de printemps m’inspira une courte jupe assortie à un blouson. Je ne me justifierai pas sur mon choix de ne pas mettre de soutien-gorge, mais mon instinct de femme parla pour moi. Le campus n’est pas loin de l’école et je n’ai pas beaucoup à marcher, mais ce matin, je décidai tout de même pour le bus. Il n’y avait pas grand monde le mercredi et je m’assis dans le fond du bus, éloigné des 2 autres passagers, deux charmants jeunes hommes. Évidemment, ils n’ont pas manqué de regarder mes longues jambes passer devant eux. À peine étais-je assise au fond du bus que mes hormones me refrappaient l’entrejambe. À l’abri des regards, j’en ai profité ...
    ... pour me masser discrètement. Les bouchons ralentissaient le bus qui ne faisait que de faire des à-coups en s’arrêtant. Moi qui pensais rapidement arriver et devoir arrêter mon petit plaisir contre mon grès me voilà prise au piège de mon excitation. J’écartais de plus en plus les jambes et m’enfonçai confortablement dans le siège. Nous n’étions plus loin d’arriver, mais ma culotte me gênais et me sentais tellement bien que je n’ai pu m’empêcher de l’enlever discrètement. Une fois mise dans mon sac je repris le massage avec ma main. Mes doigts étaient détrempés et je laissai quelques soupirs provenant du fond de ma gorge s’échapper de ma bouche. Mon bassin commençait à suivre les mouvements de ma main. J’étais en train de prendre mon pied dans un bus public. Je rouvris les yeux lorsque la sonnette de sortie retentit. Le bus s’arrêta. Surprise et encore toute étourdie j’eus à peine eu le temps de m’essuyer les mains sur le siège que je dus descendre du bus. J’étais à l’heure, mais il ne fallait pas que je traine. Je traversai toute la cour encore toute chamboulée par ce trajet en bus. C’est fou ce que les hormones peuvent faire subir à une femme. La brise de printemps caressait mon minou à l’air libre! Je n’avais pas eu le temps de remettre ma culotte. Je rougis un peu en pensant que je me promenais nue sous ma jupe devant toutes ces personnes. Si elles le savaient… et qui sait, peut-être qu’elles aussi elles sont nues sur leurs habits. Lorsque j’arrivai en classe, il ne restait ...
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