1. Stéphanie et son amant (1)


    Datte: 30/09/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... Puis il se retira, ôtant en même temps la main du cul désormais ouvert. L’anus béait littéralement, un liquide jaunâtre en sortant peu à peu. Stéphanie voulut se redresser pour aller se laver. L’homme l’en empêchant, la maintenant par les épaules contre le lit. Puis, il vint sur le côté lui présenter sa queue malodorante. Pas une parole ne fut échangée. Elle ouvrit docilement la bouche et la bite s’y engouffra. Stéphanie nettoya le gland, sa langue passant sur tous les replis de la peau. Puis vint le tour de la tige en elle-même. Chaque centimètre fut léché, sucé de manière amoureuse. Elle aimait ce moment si particulier où la queue de son homme regonflait sous l’action de sa langue. Elle se sentait reine, telle une souveraine dominante le désir de l’autre. Délaissant la queue, elle prit en bouche les deux œufs qui se balançaient au rythme imprimé par elle. Au vu du traitement infligé, la queue redevient raide, tressautant à chaque coup de langue. Elle tétait tout ce qui passait, tige, gland ou testicules. Au bout de quelques minutes, au moment où elle croyait réussir à le faire jouir dans sa bouche, il se retira. Il repassa derrière elle. Stéphanie reprit alors sa pose première, étendue à plat ventre, les mains ouvrant son postérieur. Cette fois-ci, elle ne mit pas longtemps à attendre la pénétration. Prenant appui de part et d’autre du corps de la fille, il entra dans le vagin d’une seule traite. Stéphanie grogna, approuvant cette entrée sans douceur que son corps ...
    ... réclamait. Puis, il recula de quelques centimètres avant d’entreprendre des va et viens. Pendant quelques minutes, l’homme varia ses efforts. Tantôt lent, tantôt rapide ; parfois sortant presque entièrement, parfois faisant des gestes de courtes ampleurs. Cette fois-ci, c’était Stéphanie qui se tenait aux portes de la jouissance. Les coups de reins résonnaient dans tout son corps. La sentant proche de basculer, l’homme ralentit pour faire baisser la tension. Puis, sentant le danger temporairement écarté, il reprit son manège, faisant de nouveau grimper Stéphanie dans les tours. Elle leva son regard dans le miroir en face d’elle. Elle y croisa le regard de son homme. Elle vit aussi les siens à moitié révulsés par le plaisir. Au moment où elle allait jouir, son amant s’arracha de sa chatte si chaude pour s’enfoncer dans l’anus. Ce mouvement déclencha la jouissance de la fille qui rua. L’homme l’a maintint solidement aux hanches. Puis, la soulevant, la mise en levrette. Il reprit le pilonnage méthodique de l’anus de sa maîtresse. Stéphanie criait son plaisir. Elle délirait sous l’effet des mouvements de la queue dans son cul. Peu importe si celui-ci était démonté. Seul comptait le plaisir que l’empalement lui procurait. Les mouvements devenaient plus amples, plus fougueux. L’homme perdait sa maîtrise tandis que Stéphanie perdait, elle, ses esprits. Elle et lui n’étaient plus que deux animaux s’accouplant. Leurs regards fous se croisaient dans le miroir, si semblable. vtnvmmar Dans un ...