1. Promenade au bois (1)


    Datte: 21/05/2020, Catégories: Gay

    ... chemise, laissant apparaître un poitrail velu et une panse rebondie par-dessus la ceinture du pantalon. Je fais comme lui et je vois qu’il me regarde. — Wouaw, tu n’as pas de poil, c’est très joli et puis t’as de la poitrine aussi Le voilà qui se met à rire comme d’une bonne plaisanterie, du coup je ris aussi. Il me ressert du vin que j’avale aussitôt d’une rasade. — Doucement, si tu n’es pas habitué, tu vas t’enivrer — Pas grave, je me sens bien, la vie est belle, il fait un temps splendide, je bois du vin dans la forêt en compagnie d’un homme charmant, c’est cool, non ? Il s’approche alors de moi juste au moment où, les jambes tremblantes, je m’assois. Il reprend mon gobelet, me caresse les cheveux que j’ai mi-longs, les ébouriffe en souriant. Il s’accroupit, pose la main sur ma cuisse, comme je porte un short, directement sur ma peau, j’ai un petit frisson à ce contact, mais il me regarde gentiment dans les yeux en souriant. — Tu devrais t’allonger un peu, je vais mettre une couverture sur la table, tu te sentiras mieux. Aussitôt dit, aussitôt fait, il me soulève dans ses bras, me pose délicatement sur la table, comme je transpire abondamment, il me frotte avec une serviette humide, le visage, le cou, la poitrine, passant et repassant ici et là, le ventre ensuite, puis les cuisses, les jambes... Une sensation de bien-être m’envahit, je sens ses mains sur mon ventre, ma poitrine, il me caresse les tétons, je me détends tout à fait, presque à m’endormir... Une main descend ...
    ... alors lentement, pétrissant doucement la chair de mon ventre, les doigts glissent parfois sous la ceinture de mon short. J’aime cette douceur, il est tendre et câlin, je me laisse de plus en plus aller... Puis les deux mains se glissent sous l’élastique le tirant vers le bas, entraînant mon slip dans la descente pour me libérer tout à fait. Les yeux mi-clos, je le vois, il semble en extase... j’ai la vue brouillée, comme si une brume me remplissait la tête. — Que tu es beau ! Comme déjà dit, je n’ai que très peu de poils, quasiment un duvet, mon sexe modeste repose sur mes testicules, j’ai la peau blanche de la marque du slip de bain. Je ne sais pas ce qui m’arrive de m’abandonner complètement à cet homme rencontré quelques instants auparavant. Je sens sa bouche sur mon ventre, sa barbe soyeuse me caresse agréablement, ses lèvres et sa langue passent et repassent glissant vers mon pubis, cette fois je ferme les yeux. Je sens mon pénis aspiré par la bouche gourmande, il le roule avec la langue, le faisant se raidir, sa taille modeste ne l’empêche pas de durcir de plaisir. L’homme est debout contre la table, son ventre touche mon bras, à moitié couché sur moi, ses mains me caressent les cuisses... il les écarte soudain, glissant ses doigts sur mes bourses, puis caressant jusqu’à mon anus, sa bouche quitte ma verge et sa langue vint se planter dans mon orifice, je me souviens d’avoir poussé un petit cri, il respire vite, il grogne aussi me malaxant les fesses avec frénésie, un ...