1. La proclamation


    Datte: 22/05/2020, Catégories: fhh, hbi, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral préservati, pénétratio, hsodo, confession,

    ... de mannequin squelettique que de celui de boudin gras, elle m’apparaissait comme un idéal féminin. Blonde, pas très grande, les yeux bleus, des seins bien ronds aux aréoles légèrement marquées, sa vue a fait frémir mon pénis. Vive la djellaba ! — Je te présente la seule femme de ma vie, a continué Fahri. Oui, c’est elle que je retrouve avec un immense plaisir à chaque fois que je viens ici, c’est à elle seule que je suis fidèle, je te l’ai dit. Elle est mariée avec Jean que je te présenterai un de ces jours et je suis leur amant commun. Il nous arrive souvent de nous retrouver à trois sur un lit, ou ailleurs. J’avais beau avoir reçu une éducation tolérante, libérale, libertine et libertaire, j’étais soufflé par ces révélations. J’avais du mal à imaginer que l’on puisse avoir une telle relation à trois. Vive la djellaba ! — Je commence à comprendre pourquoi Fahri et maman se connaissent, c’est toi qui le leur a présenté.— Exactement. C’est d’ailleurs ainsi que Fahri te connaissait avant que tu ne le rencontres.— … ?— Je t’explique, a dit Fahri, il y a trois ans d’ici, tes parents et toi étiez en vacances ici, Christine, Jean et moi aussi. Je t’avais repéré avec tes cheveux roux et tes poils acajou, je peux te certifier que je m’étais juré de faire ta connaissance de près si j’en avais l’occasion. Deux jours plus tard, Christine et Jean étaient chez moi, je leur ai parlé de ce jeune rouquin si attirant que j’avais vu. Elle m’a expliqué comment elle te connaissait.— C’est ...
    ... heureux, alors que je sois venu avec mes parents cette année encore, j’envisage, dès l’an prochain, de partir seul en vacances.— Si tu veux, a glissé Christine, tu viens ici. Tes parents vont chaque année ailleurs, ils ne seront pas ici, j’en suis presque sûre. Fahri a continué, me disant qu’il m’avait vu la semaine précédente lors de notre arrivée, qu’il était certain que c’était moi lorsqu’il m’a vu sortir nu de notre chalet. Bien sûr qu’en trois ans j’avais grandi et forci, mais j’étais resté même, celui qui lui avait tant plu. — J’ai rapidement pris ma décision, a-t-il dit, je suis allé à mon chalet, j’ai attrapé un nécessaire de toilette et un peu d’argent et je suis venu m’asseoir sous un pin à proximité de chez toi. Quand tu es sorti avec ta serviette, j’avais compris et je t’ai suivi de loin. La conséquence, tu la connais, mais pas sa suite.— Ah ? Christine est intervenue avec un grand sourire et sa lueur de provocation dans le regard. — Oui, Fahri m’a raconté votre petite aventure. C’est vrai que tu es mignon avec ta tignasse soleil couchant et ta djellaba vert d’eau, mais je ne vois ni ta touffe ni ta bite, c’est ce qui avait tant attiré Fahri et je voudrais savoir qu’elle impression tu me ferais. Une bouffée de chaleur m’est montée au visage et je me suis senti un teint de framboise mûrissant. Elle a avancé la main droite vers mon bas-ventre et elle l’a mise directement sur la bosse dans la djellaba. Je me suis senti devenir framboise écrasée. Elle a serré légèrement, ...
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