1. La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°757)


    Datte: 22/05/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    soumise dans une cabane - (hors-série) – Ça y est, le jour tant attendu est enfin arrivé. Pourtant me direz-vous, il n’y a rien d’amusant à rester là, plantée au froid à attendre un train qui a plus d’une demi-heure de retard. Oui, sûrement mais je n’attends pas n’importe quel train, j’attends celui où il y a mon MAITRE. Depuis le temps que j’attendais ce moment, je vais enfin le revoir et de plus, Il accepte de venir chez moi. D’aller se perdre dans mes montagnes, de découvrir mon monde, mon environnement, de partager ainsi une partie de ma passion … Ce que je ressens est très spécial. Je voudrais que le temps passe plus vite. Pour que ce fichu train régional arrive enfin, même si je m’y attendais, il a neigé. Alors toutes les grandes lignes sont en retards. Mais en même temps, j’ai l’impression de ne pas voir le temps passé. Je me refais la liste dans ma tête, non ça va, je crois que je n’ai rien oublié et je pense, je pense à Vous, à ce que Vous me ferez, à ce que Vous penserez de mon refuge, de ma vallée et de ces gens pittoresques. Mes yeux regardent sans voir, les gens qui m’entourent et j’attends, patiemment et à la fois impatiemment, et ce train qui n’arrive pas … Enfin, j’entends le sifflement du train sur les rails bien avant de le voir. Puis il apparaît, fidèle à lui-même rouge et blanc avec sa puissant locomotive au nez disgracieux. Le givre qui s’est formé sur les fils produit des étincelles bleues et vertes. Et enfin, il s’arrête dans un fort couinement des ...
    ... freins. Un flot de touristes, de skieurs du dimanche ou de jeunes du coin en sortent. La station de ski sur le versant Sud rend notre coin très populaire en hiver. Je ne m’en plaindrais pas sans ça la vallée serait déjà mort, faute de travail. Enfin derrière un groupe d’Anglais, je vous vois, vous mon Maître. Vous n’avez pas changé, toujours ces même yeux bleus qui donnent l’impression que Vous lisez en nous comme dans un journal, toujours cette aura qui Vous entoure et qui me donne envie de m’aplatir au sol, ce sourire aux lèvres remplis de tendresse et d’amour. Je m’avance vers Vous. Je Vous vois Vous retourner, et donner le bras pour aider une vieille dame à descendre. Ça peut faire cliché, mais ce geste d’une galanterie d’un autre âge me réjouit, je Vous retrouve enfin. Vous me montrer Vos bagages, et là encore Vous me tirez un sourire, moi qui avais peur de me retrouver avec un homme de la ville qui n’avais jamais mis les pieds en montagne et qui transporterait 4 valises énormes alors que l’on doit marcher. Non avec Vous, je ne vois qu’un sac de montage de taille plus que raisonnable, il sera facile à transporter dans la neige. D’ailleurs en parlant de neige, elle a recommencé à tomber, ce qui signifie que je devrais mettre les chaînes et que je devrais Vous imposer un arrêt en plus. Les portes de mon WW transporteur claque, c’est un vieux bus, et ces 4 roues motrices sont plus que nécessaires par ici, en hiver comme en été. Vous Vous retournez vers moi et Vous me dites. - « ...
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