1. Annabelle raconte : le déménagement


    Datte: 22/05/2020, Catégories: Partouze / Groupe Sexe Interracial, Mature,

    ... Fabrice.- Baise-moi. Je t’en supplie.Je profite du mouvement qu’il fait vers la table de chevet pour saisir son sexe et le guider jusqu’à ma bouche. Je brûle d’envie de le sentir en moi, mais il se dégage.- Je vais jouir, si tu fais ça.-Il s’engouffre en moi. Sa bouche trouve la mienne et je goûte sur ses lèvres le fruit mouillé de mon excitation.- Voilà quel goût tu as, murmure-t-il.- Et tu l’aimes ?- Oui.Ses assauts commencent lentement. Il me laisse éprouver toute la longueur de son érection quand il va et vient en moi. Me prenant les mains, il les plaque au-dessus de ma tête, m’arrachant un gémissement.- Tu aimes être attachée, pas vrai ? Vilaine fille. Vilaine. Vilaine. Fille. (Il ponctue chaque mot d’un coup de boutoir.) Et tu sais ce qui arrive aux vilaines filles ? Elles se font punir.Comment sait-il que c’est précisément ce que j’ai besoin d’entendre, alors que je l’ignorais moi-même ? Comment sait-il que ça me rend complètement dingue de désir ?Je l’entends se diriger vers l’armoire, l’ouvrir et en sortir quelque chose. Revenu près du lit, il positionne mes mains devant moi et me passe une cravate en soie autour des poignets.- Je n’ai pas le matériel approprié avec moi, il va nous falloir improviser, commente-t-il en souriant.Je le sens écarter mes fesses, et avant que j’aie le temps de comprendre ce qui m’arrive, sa langue se pose sur moi. Il lèche mon sexe, glissant du clitoris jusqu’à l’entrée du vagin, puis décrit des cercles lents autour de mon orifice.- Oh, ...
    ... bon sang ! C’est tellement bon.Il insinue la langue juste à l’intérieur, titillant, goûtant. Puis il plonge sur le clitoris et entreprend de le caresser, prenant soin de ne pas lécher sous le capuchon sensible. Pendant tout ce temps, il maintient mes fesses écartées, si bien que je suis complètement ouverte pour lui. Des vagues de plaisir remontent le long de mon corps à partir de mon entrejambe. Je commence à onduler du bassin contre sa langue. Alors il s’écarte, et je ne peux réprimer un cri de déception.- Ne bouge pas, m’ordonne-t-il. Je ne t’ai pas autorisée à bouger.J’essaie désespérément de rester immobile tandis qu’il repose la langue sur moi.- Oh, oh, oh, oh, là, là ! Putain ce que c’est bon !Les mots se refusent bientôt à moi et je ne sais plus que gémir. Mais soudain il retire encore sa bouche.- Je crois que tu as besoin d’être baisée, commente-t-il d’un ton quasi désinvolte. C’est ce que tu veux ?- Oui. Oh oui !- Supplie-moi.- S’il te plaît, s’il te plaît baise-moi. Baise-moi, baise-moi, BAISE-MOI !Je ne suis plus qu’une somme de désirs frémissante. Si je ne le sens pas en moi très vite, je crois que je vais perdre la tête.Puis il me pousse doucement contre le matelas et je sens son poids alors qu’il s’agenouille derrière moi. Il place une main sur ma hanche pour me maintenir en place et enfin son sexe se pose contre ma fente. Il enfonce un peu le gland, puis se retire. Je rêve ou je viens de pousser un gémissement plaintif ?- S’il te plaît.Je le supplie bel et ...