1. Un après-midi d'été


    Datte: 22/05/2020, Catégories: hh, hhh, hbi, hagé, hépilé, plage, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation hdanus, hsodo,

    ... chien à sa maîtresse ; je n’ai pas envie qu’elle vienne jusqu’ici et casser ce qui reste de l’après-midi. En fouillant dans son sac, Marcel en retire un morceau de corde en nylon et le tend à son ami en précisant : — Mon père m’a toujours dit qu’il faut toujours avoir sur soi un couteau et un bout de ficelle, ça te sauve la vie. Hubert passe le morceau de corde autour du collier de l’animal et s’en va en direction de la silhouette féminine qui continue à appeler son chien. Cinq minutes plus tard, l’animal a retrouvé sa maîtresse et Hubert peut récupérer la corde de Marcel sous les remerciements de la dame. De retour à son coin, il a la surprise de voir ses deux amis allongés côte à côte sur le dos, les sacs à dos servant d’oreillers, et se masturbant mutuellement. Ce tableau a le don de faire instantanément grossir le vit d’Hubert. Il découvre ainsi les bites de ses camarades en pleine érection : celle de Marcel a à peu près les mêmes dimensions que la sienne tant en longueur qu’en grosseur, tandis que celle d’Yves est nettement plus fine, mais semble aussi plus longue. Sa présence ne semble pas gêner outre mesure les deux hommes. Malgré tout, Yves demande : — Ça ne te dérange pas si on se caresse, Marcel et moi ?— Pas du tout ; mais regardez dans quel état vous me mettez ! Je peux me joindre à vous ? Yves réagit le premier. Lâchant le sexe de son ami et se levant, il s’empare de la bite d’Hubert. — C’est vrai que tu as une belle bite, aussi belle que celle de mon ami Marcel ...
    ... ! Satisfait de la tournure des événements, la bite d’Yves dans une main celle de Marcel qui vient de se lever dans l’autre, il se dit que l’après-midi est peut-être sauvé. Pendant un moment les trois hommes se branlent mutuellement, puis Hubert prend l’initiative de se pencher sur la pine d’Yves et de la prendre en bouche. Cette manœuvre l’oblige à lâcher la queue de Marcel, qui en profite pour pincer les tétons de son ami nordiste. Les gémissements émis par Yves traduisent son plaisir et sa jouissance. Pendant quelques instants, Hubert suce avec tout son art la pine du nordiste ; sa langue en explore chaque millimètre carré, du méat aux couilles dépourvues de poils, puis en tournant un peu la tête il peut engouffrer dans sa bouche gourmande le chibre de Marcel. Pendant cette manœuvre il voit que ses deux amis, face à face, se triturent mutuellement les tétons. Le mandrin qu’il a maintenant en bouche occupe toute la cavité buccale ; la grosseur du vit l’oblige à écarter la mâchoire au maximum. Sa langue persiste à caresser le gland et le méat d’où perle une goutte de liquide translucide, vite recueillie par la langue véloce. Au bout d’un moment, Marcel se dégage et, s’accroupissant à son tour, il gobe le chibre d’Hubert, lui arrachant un soupir de plaisir.A priori, ce n’est pas sa première fellation ; après avoir fait deux ou trois allers-retours sur presque toute la longueur du mandrin, sa langue lèche et masse le gros cylindre de chair ; elle cherche même à forcer l’entrée ...
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