Vulnérable ! - Histoires de Sexe

Vulnérable !

... Sophie, tu en as entendu parler ? Il en fait trop, ils vont s’apercevoir qu’il rigole. Jamais, au grand jamais, il n’a levé la main sur moi. Il ferait beau voir ! Il continue : — Un jour, Sophie, alors que nous faisions l’amour, m’a demandé de lui faire mal. J’ai pincé le bout de ses seins. Depuis, je le fais de temps à autre. Là, c’est vrai. David a le regard fixé sur mon chemisier pendant qu’Olivier continue : — Mais elle sait bien se venger, elle est sans pitié. Je regarde la douce Natacha avec mon plus beau sourire. — Qu’est-ce que tu lui fais ? balbutie-t-elle, affolée.— Je l’attache sur le lit, tout nu, bras et jambes écartés. Je fais un strip-tease le plus torride possible, je lui caresse tout le corps avec une plume de goéland, surtout les endroits stratégiques, tu vois, et je l’abandonne sans qu’il ait la possibilité de jouir.— Tu feras ça ici ?— Ça pourrait t’intéresser ?— C’est surtout David qui a voulu venir. Moi j’étais assez réticente, je suis une fille sérieuse. Une sainte nitouche, qui ne répond pas à ma question mais qui se trouble et rougit ! — David, il faut punir Sophie. Elle doit recevoir une fessée, insiste Olivier. Olivier ne m’a jamais fessée, bien sûr. Et voilà qu’il propose que je le sois par un quasi inconnu ! Eh bien, mais ce sera amusant, après tout. Je ne laisse pas à David le temps de réfléchir, je soulève ma jupe et je me couche sur ses genoux. Mes fesses rebondies ne me brûleront pas beaucoup car je suis bien certaine qu’il ne frappera pas ...

... trop fort, ce gentil garçon blond aux yeux clairs. En effet, il se contente de tapoter gentiment. Je me trémousse quand même en écartant les cuisses, pour qu’il se rince l’œil sur mon mont de Vénus moulé par le frêle tissu, et je le nargue : — Même pas mal ! Même pas mal ! Il est bien obligé de frapper un peu plus fort. — Toujours pas mal !— Ah, tu veux avoir vraiment mal ? Eh bien, voilà !— Aïe ! Aïe ! De la main gauche, je me frotte les fesses, ce qui me permet de frôler le bas-ventre de David. Il bande, bien sûr. Olivier, lui, fait semblant de s’apitoyer : — S’il y avait une crème hydratante ici, il faudrait en passer sur les pauvres fesses endolories de Sophie. Masse-les-lui quand même, David ! Et toi, Natacha, que veux-tu m’infliger pour me punir, parce que c’est surtout moi qui nous ai fait perdre, quand même ?— Eh bien… je n’ai jamais fessé un homme, moi, et je ne me vois pas te fesser.— Fais de moi ce que tu veux ! Elle peut constater que les doigts de son copain s’aventurent désormais entre mes cuisses et frottent mon abricot juteux. Quel dommage que je n’aie pas subi la fessée cul nu ! — Je ne vois pas pourquoi je te punirais, Olivier. Mais je punirais bien volontiers David, qui est en train de tripoter ta Sophie, sans se gêner.— Sophie n’est pas à moi. Personne n’appartient à personne. Venge-toi ! Veux-tu que je te caresse les fesses ? Elle semble hésiter. Se lève. — Arrête, David. S’il te plaît, arrête ! Il obéit. À contrecœur, j’espère. Je n’ai plus qu’à me relever ...