1. Le marin


    Datte: 23/05/2020, Catégories: Anal Hardcore, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... chaleur poisseuse de cette fin d'été se donne rendez-vous dans sa culotte. Déjà fontaine, elle prend peur qu'on voit le liquide s'écouler le long de ses cuisses."Sortons…" dit-il. Et il prend congé de ses camarades. Dès qu'ils sont sortis, il se fait pressant : "viens, dit-il, trouvons un hôtel, allons n'importe où, je veux te baiser, rien d'autre ne compte. Trois mois, trois putain de mois en mer à me branler en pensant à ta petite chatte". Elle aussi elle a pensé à lui, elle aussi elle a imaginé être dans ses bras. Elle s'est donné du plaisir des après-midi entières, un oreiller entre les jambes. Et maintenant, ils vont faire l'amour. Le monde entier peut disparaître.Mais, saison touristique oblige, plus un hôtel n'est libre et il est hors de question de retourner au bateau, le capitaine regarderait le marin d'un sale œil, déjà qu'il cherche l'occasion de le virer, à cause de son goût pour la castagne. Il y a des petites baraques, près du port de pêche, certaines sont abandonnées, personne ne va par là à cette heure. Dès qu'ils en ont trouvé une, elle se poste à genoux, à ses pieds, il descend sa braguette, lui présente son sexe, il bande déjà, il est si beau, son marin. Elle embrasse le nœud, lèche le vit et trouve vite la mécanique pour en faire une barre d'acier. Il saisit ses cheveux et elle plonge en apnée. Elle ne se retient plus, elle doit goutter sur le sol de la cabane, comme elle lui a manqué sa merveilleuse queue, ce puissant pénis qui sait si bien se dresser, ...
    ... jouir en elle et la faire jouir.Il décide qu'elle l'a assez sucé. Même debout, il la domine, comme une statue. La verge bat le rythme cardiaque de ce géant contre son ventre de femme fragile, les grandes mains se glissent sous le tee-shirt, rudes contre la douceur de ses seins dont il fait dresser les pointes par ses lèvres. Quand il se penche, qu'il en gobe un, le prend en entier dans sa bouche, elle crie. Il se baisse, soulève ses jupes et retire sa culotte. Elle se tient devant lui offerte, les jambes écartées. Il saisit ses fesses et la décolle du sol comme une plume. Elle s'envole, passe ses bras autour de son cou. Elle est si bien. Le nœud du marin bute contre la fente. Elle le supplie : "oui, oui, mon amant, je t'en prie". Il la pénètre doucement, peu à peu prend ses marques, se cale ; il ne laisse pas le moindre espace libre. C'est ce qu'elle préfère : ils s'emboîtent parfaitement. Elle sait qu'il a tout son temps, qu'il apprécie d'être en elle. On ne peut pas gâcher une attente de trois mois en quelques coups de reins. Quand enfin son vit atteint le fond de la matrice, elle pousse un long soupir orgueilleux. Baisée, empalée, elle s'est rêvée ainsi. Il accélère, elle l'imagine dans les soutes du navire, son corps luisant de sueur, les bras couverts de mazout, donnant sa force aux machines comme il la lui donne. Un voile blanc recouvre tout, va et vient de sa chatte à sa tête, sa colonne vertébrale est un train de montagne qui tombe dans le précipice. Tout explose.Quand ...